posté le 20-01-2008 à 18:14:55

Clo and Kate Suite de la page 9

A l’heure dite, éteignait votre prudence, ne songer plus à rien vous êtes en sécurité.

 


 
 
posté le 20-01-2008 à 18:12:04

Clo and Kate Suite de la page 8

Inconscience des songes recouvrait immensité bitumeuse de Manchester; Ce trompe-œil artificiel digne des attraits de l’olympe, pansait cette réalité que les première lueurs du jour s’exhalera à nouveau. Parmi cette multitude de pointillées cendrés, l’une d’eux s’extirpe, s’étire, et précisant ses contours, l’ombre d’un homme remontait la rue. De son bonnet jusqu’aux gants qu'il portait, il devait forcément craindre le vent glacial qui balayé la ville. Quand il fut au devant du 874 de la rue, il fit mine de sonner. La lame de lumière qui l’éclaira, dévoila l’inconnu: Roses. Roses, vo­guant entre un regret et de multiples plissures et déchirures amoureuses. Pendant que Clo se remodelait dans Camden Street, Roses rangeait dans son tiroir, ou s’oublier les lianes de ses amours, une autres lianes qu’il espérait ambitieuse et salvatrice. En croire certaines langues, ce dernier devait être étranger pour croire qu’il puisse envisager une vie commune. A le voir s’avançait entre les passants et seul, Clo savait déjà que Chris venait de déchiré ses espérances. C’est lorsqu’elle le recevait maquillé dans sa tristesse et ses incompréhensions, qu’elle obstinait à propos de reconju­ger «l'other»: le regret, l’éternel amour de Roses. Tous s’accordés a la contredire mais Little Boy se confinait et ceci depuis plus deux ans. Leurs âmes troublées s’unissent sous les vapeurs de leurs thés ; Les mots avaient épuisés leur recours, « Little Boy » s’absentée derrière ses phrases ; elles étaient ternes et leurs impactes étaient remis en question. Dès lors que le regard fuyant de Roses, s’arrêta sur ces deux jeunes personnes en contemplation sur la vi­trine d’en face, l’évidence fut pointée : Prétextant une visite, se faisant pardonner cette abandon, Roses s’était en­gouffrait dans la foule jusqu’à la gare. La chenille l’emmenant vers Manchester aux premières heures nocturnes.

 


 
 
posté le 20-01-2008 à 18:04:53

Clo and Kate Suite de la page 7

Kate s’étalée sur les fauteuils de cuir d’un train, qui se rappelait à elle. De ses yeux qui feintent d’être hypnotisés par ses rayures multicolores de ce paysage aussi habituels qu’étrangers, ses remords la détrompée dans sa quête de sérénité. Avec sincérité, elle s’y vautrait depuis l’aurore matinale et s’était contraint à une flagellation parentale, dont par toute vraisemblance, aucune mise en demeure de son retour, considéré comme un échec et d’autant qu’une mise en cause qualifié de « psychologiquement insensé» devrait l’atteindre. Néanmoins, il lui sembla inutile de ruminer ses regrets, et rejoindre Clo lui parut inopportun, et puis par subjections éliminatoires, elle vint à penser qu’elle n’avait point agréé ses « de­voirs filiaux ».

 


 
 
posté le 20-01-2008 à 17:35:46

Clo and Kaye Suite de la page 6

Londres s’était réveillée dans son vacarme ahurissant quotidien qui ne dérangeait plus guère personne ; Cette ville, semblable a toute, refermait en son sein un amalgame irrégulier en per­pétuelle rotation. Entrelacée dans l’une ses rainures épidermiques, Claudia s’était engouffrée dans cette cohue matinale d’un pas rapide, vacillant, tel un cheval aveugle au galop jusqu’à ce que sa cavalcade le fasse pénétré dans cette Black street. Déjà depuis et dés lors, les parois s’étaient attristées, une total résignation, une contamination générationnelle : Tout y respirait des parfums d’emprunt, poussiéreux, souillés, usés, parfois reliquaires, à jamais teinté d’injures, d’amertumes, souffrants d’infortunes, imprégnaient de cet immanquable rareté, un continuel « trop peu », un luxurieux manque inlassable.

 


 
 
posté le 20-01-2008 à 17:17:10

Clo and Kate suite de la page 5

Avez-vous parfois pensé que les sourires se ressemblent mais à bien des sens ils sont pourtant si différents.

 


 
 
posté le 20-01-2008 à 17:10:53

Clo and Kate Suite de la page 4

Le ciel témoin de cette scène aux apparaisse biblique, où ce doux Butterfly dont ses seules espérances la libérait, est brisait, ravagé par la peur et la douleur. Ce pauvre corps, symbole d’un ange, dont les ailes n’étaient plus protégés par la Sainte Divinité de la vie. Paralysé, kay semblait s’évanouir dans un paysage lunaire et incompréhensible: Où son rêve de bonheur s’enveloppait d’une couche épaisse de brouillard. Son esprit débarrassait de sa torpeur, elle saisit le téléphone, avec un ton aussi grave qu’elle prenait parfois, elle l’eut à peine prononcée une syllabe que l’homme annonce d’un ton sec: «J’arrive» et raccrocha. Ses yeux restèrent fixer quand soudainement le cliquet de la poignet de la porte se fit retentir dans le hall d’entrée. S’introduisant dans le salon, leurs yeux se posèrent sur ce corps inanimé, puis sur ceux de kate, effrayés, envahit par l’impuissance et le remord. Leurs visages sculptés dans un marbre d’une telle blancheur, rendaient l’inquiétude et la colère. Sans une parole, Chris, «Roses», s’approcha et s’abaissa auprès de Claudia; l’a mis doucement dans le creux de ses bras et aussi lentement se redressa, et l’a transporta dans sa chambre, toujours aussi lentement il la déposa sur son lit; avec sa délicatesse, ses mains redressèrent ce doux visage.

 


 
 
posté le 16-01-2008 à 15:53:56

Clip Officiel D'A&E by goldfrapp

Bonne écoute et bonne appréciation
 


 
 
posté le 11-01-2008 à 16:32:15

1er single de Seventh Tree by Goldfrapp

alison goldfrapp

Pour ceux qui voudrais le savoir vous pouvez écouter sue leur page myspace officiel le 1er titre A&E du prochain album "Seventh Tree" qui sortira le 25 février 2008

 


 
 
posté le 10-01-2008 à 15:58:31

Qu'en pensez vous?

J'ai trouvée sur youtube que philosophe sur le monde
 


 
 
posté le 10-01-2008 à 15:50:02

L’Angleterre a déjà grillé la France sur la clope