Inconscience des songes recouvrait immensité bitumeuse de Manchester; Ce trompe-œil artificiel digne des attraits de l’olympe, pansait cette réalité que les première lueurs du jour s’exhalera à nouveau. Parmi cette multitude de pointillées cendrés, l’une d’eux s’extirpe, s’étire, et précisant ses contours, l’ombre d’un homme remontait la rue. De son bonnet jusqu’aux gants qu'il portait, il devait forcément craindre le vent glacial qui balayé la ville. Quand il fut au devant du 874 de la rue, il fit mine de sonner. La lame de lumière qui l’éclaira, dévoila l’inconnu: Roses. Roses, voguant entre un regret et de multiples plissures et déchirures amoureuses. Pendant que Clo se remodelait dans Camden Street, Roses rangeait dans son tiroir, ou s’oublier les lianes de ses amours, une autres lianes qu’il espérait ambitieuse et salvatrice. En croire certaines langues, ce dernier devait être étranger pour croire qu’il puisse envisager une vie commune. A le voir s’avançait entre les passants et seul, Clo savait déjà que Chris venait de déchiré ses espérances. C’est lorsqu’elle le recevait maquillé dans sa tristesse et ses incompréhensions, qu’elle obstinait à propos de reconjuger «l'other»: le regret, l’éternel amour de Roses. Tous s’accordés a la contredire mais Little Boy se confinait et ceci depuis plus deux ans. Leurs âmes troublées s’unissent sous les vapeurs de leurs thés ; Les mots avaient épuisés leur recours, « Little Boy » s’absentée derrière ses phrases ; elles étaient ternes et leurs impactes étaient remis en question. Dès lors que le regard fuyant de Roses, s’arrêta sur ces deux jeunes personnes en contemplation sur la vitrine d’en face, l’évidence fut pointée : Prétextant une visite, se faisant pardonner cette abandon, Roses s’était engouffrait dans la foule jusqu’à la gare. La chenille l’emmenant vers Manchester aux premières heures nocturnes.
« Kate, quelqu’un veut te parler » prononça sa mère, qui suffoquait qu’un inconnu puisse les déranger
« Roses ? Je sais ce que tu veux ?... Roses…. Je n’ai pas besoin d’un sermon, please »
« Kay, shit, Qu’es ce qui t’as pris ? Kay ?....
« I know, Roses ! »
« Tu avais promis, kay, tu avais promis de la protéger ! Tu te rends compte de ce que tu lui a fait?...Kay… Sais tu à quelle point elle souffre ? »
Roses s’efforçait de garde son calme mais la colère le ravageait de plus en plus. D’autant que la fausse apparence de kay l’étirait d’avantage. Sa voix lui perçait toutes ses résistances
«Roses,.. You thought that….
«I thought why? On ne te demande pas de penser, Kate mais d’Aimer! You are thought? Parce que tu penses que t’éloigner d’elle est une bonne solution, peut-être? Je vais te dire ce que je pense, kate. L’aime tu vraiment, Kate? Tu te mens à toi-même!
«Roses, je t’interdis»
«Tu m’interdis? (You forbid me?) Alors pourquoi tu es toujours ici ? Pourquoi tu n’es pas retournée lui parler? Tu as juste fuit, kay? …Tu espères qu’à ton retour elle aura oubliée? Tu te trompes Kay. Crois moi….
Les ricochets sonores de leurs confrontations vinrent picorer la conversation familiale, ni tenant plus, sa mère s’avança jus qu’au salon : A sa vue, Roses s’éteint, dévisagea Kate nouée, épuisait les échappatoires.
«Kate? You can say me…? Découragée par son mutisme, elle s’adressa à Roses «But who are you, Mr? Que reprochez vous à ma fille? (What do you reproach for my daughter?)
«It is nothing, mum. I only forget a rendrez-vous with a friend. And he is worry… You’re welcome, mum, it’s ok.»
«Es-ce une raison suffisante pour qu’il te parle de cette façon?»
“Don’t worry, mum. Leave us alone, please” égrainée de stupeur, elle quitta la pièce. Aplanissant les ruines de la violence, Roses capitule sur le canapé et d’une voix exténuée, il repris :
«Kate, j’en ai assez. Comment te dire… il m’est insupportable de la voir ainsi: elle n’est plus que cette division qui la contraint en permanence: je l’observe parfois étouffée ses peur, s’efforcer à nous faire confiance. je souffre de n'entendre que ses accents de dissimulation. Kate, je ne peux te reprocher tes doutes. Mais tu dois te pardonner à toi-même pour elle et pour toi. Ce pardon est nécessaire. Sa mémoire est une arme que l'on peut difficilement contrôler. Et Little Boy aura besoin de toi lorsqu'elle sera.
but his heart was fallen in love with her and She betrayed her and I forgot that a heart who bleed, is as dangerous as a men who drink I would never have to leave that night. And....
L'évidence guidèrent leurs gestes,
Je me souviens qu'elle voulais “être”. Je l'ais vu se modeler, et enfin se crystalliser. My Little Boy était de nous, l'innocence avais disparue, il voguait avec aisance. My brother était autant moi, que lui. Mum m'avais prévenu mais il était tellement de nous, tellement parallèle... Little Boy was so free. Je n'aurais jamais cru qu'il irait aussi loin mais Little Boy était entièrement de nous. Je l'ai vu se lier, se malaxer et se démêler avec autant de facilité que moi
Ses yeux, sa voix ne voulais suppliant mais Kate n’avait nullement envie de couvrir ces indécis. Sa conviction se devais être là, elle lui fixais cette étrange sensation qu’elle devais retracer Clo, pour pourvoir la sauver.
«Roses tu ne crois pas qu’il est temps à présent, de m’expliquer, non! Comment veux tu que je l’aide sans même savoir à quoi m’attendre! Roses, ne meprend pas pour une idiote. Je sais comment tu vis!»
«Kay… Si je devais emmener quelqu’un, ce n’est pas toi ! Tu commences juste à t’accepter! Kay, Clo, n’a pas et aussi étrange que cela puisse être, Little Boy n’a pas eu besoin de l’accepter, il s’y est glissé et sans même un note de certificat, il est lui !
« Kay, pour le moment, aime la et pour ça….C’est moi qui m’emmènerai Quand à toi, c’est moi qui décidera, fais moi confiance Kay, je sais exactement ce que fais!»
« Roses tu veux renter à Londres avec moi?» lui lança-t-elle alors qu’il s’apprêtait à extraire de sa présence.
Souffles imperceptibles de ces mots qui semblent presque dérisoires, Kate n’eut que sa conviction confirmait et Roses n'eut alors cette angoisse qu’il faudrait ramener Little Boy à la vie. Ses convictions, et certainement pour avoir connu Son Little Boy, étais que tôt ou tard, Mum devais elle aussi se rendre à cette nécessité, Clo retrouvera Little Boy et ce dont il était sûre qu’il devrait se souligner malgré cette nuit là, celle dont sa révélation serait à la fois une libération et une gangrène. Ce dont il doutais le plus s’était Kate, qui n’avais hélas nullement les dispositions et il ne souhaitait guère une traîtrise entre lui, Kate et clo.
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