posté le 20-01-2008 à 18:14:55

Clo and Kate Suite de la page 9

 

 

A l’heure dite, éteignait votre prudence, ne songer plus à rien vous êtes en sécurité.


L’ange se détachait à peine de cette toile nocturne, les violentes tristesses se fixèrent avec la lente progression et l’ange se laissa surprendre sous ces bras lunaires et libératoires. L’hôte aimée de cet ange se serait apaisée en se juxtaposant auprès d’elle ; Etrange sensation : d’être dans l’impasse de soi, de savoir ce que l’on est, ce dont on a besoin, mais qu’une brindille de doute vous s’emprisonne. C’est de soi que l’on doit vaincre avec le plus d’acharnement, et elle su qu’elle ne pourrais guère, sous les tonnelles crépusculaires, se dérober de soi, d’elle .


Bercée d'insoumission, elle déposa ses pétales cristallines sur la clarté lunaire, déposée près d'elle comme l'innocence près de l'impertinence. De douceurs déposés, aussi gantés qui fussent, fit surgir l'étincelle attendue. De sourires opposés, gourmandises rayonnantes, délaçant timidement l'individualité, elle s'inventent un nous irréprochablement gestuel. Conjointement ligaturées, elles s'inventent une traverse vertigineux s'émouvant aux moindres emprises de l'autre, s'inspirant de la mouvance de l'une sur l'autre, elles sont ainsi la transposition de l'invisible d'eux.


 

 

Page 10

 


Avec vos soins

 

mouna  le 20-02-2008 à 19:17:12  #   (site)

petit coucou j espere que tu vas bien ?
douce nuit a bientot

yayy2  le 20-02-2008 à 11:36:20  #

C'est avec toute mon amitié que je t'offre ce joli bouquet !
J'ai pris soin de les arroser de beaucoup d'amour
alors prends-en soin de l'arroser tout les jours
et offre le a toutes tes amies

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............8888.888 88888.8888.......... ....Passez une bonne Journée
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..............888888 8888888888.......... ....
..................88 888888888........... ........
.................... ..888888............ ............
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.................... ....##.............. 8888................ ....
.................... ...##........8...888 8888...8............ .
.......#............ .##......8888.888888 88.8888........Bizzzzzzzzzz
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.....#####.....##... ....8888888888888888 888......
....######...##..... ......88888888888888 8..........
......######.##..... ..........8888888888 ...............
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yayy2  le 19-02-2008 à 21:07:27  #

(¯`-.-♥¯)______(¯`-.-♥¯)_______(¯`-.-♥¯)______(¯`-.-♥¯)______(¯`-.-♥¯)
`-.,(¯`-.-♥¯)___`-.,(¯`-.-♥¯)__-_`-.,(¯`-.-♥¯)__-_`-.,(¯`-.-♥¯)__-`-.,(¯`-.-♥¯)
(¯`-♥ Mon petit passage du soir
(¯`-♥ Pour venir te dire bonsoir
(¯`-♥ J'y dépose une fleur
(¯`-♥ Pleine de bonheur
(¯`-♥ Pour réchauffer ton coeur
(¯`-♥ de toutes les douleurs de la vie. Gros bisous.

mouna  le 18-02-2008 à 22:09:08  #   (site)

petit coucou du soir
bizou

aurore  le 18-02-2008 à 00:16:31  #   (site)

Comment vas tu ?...que fais tu ? gros bisous bonne semaine..

yayy2  le 12-02-2008 à 21:21:29  #

je passe te souhaiter une bonne nuit et espere que se petit message te trouveras en forme gros bisous

Briana  le 11-02-2008 à 20:10:40  #

Mille bisous

yayy2  le 06-02-2008 à 12:19:19  #

Bisous de laivraison express de journee attention attention et c'est parti! Bisous...♥...Bisous...♥...Bisous...♥...Bisous ...♥...Bisous...♥...Bisous...♥...Bisous...♥.... Bisous...♥...Bisous...♥...Bisous...♥...Bisous ...♥...Bisous...♥...Bisous...♥...Bisous....♥... Bisous...♥...Bisous...♥...Bisous....♥...Bisous ♥♥♥♥...Bisous...♥♥♥♥... Bisous...♥...Bisous...♥...Bisous...♥...Bisous ...♥...Bisous...♥...Bisous...♥...Bisous...♥.... Bisous...♥...Bisous...♥...Bisous...♥...Bisous ...♥...Bisous...♥...Bisous...♥...Bisous....♥... Bisous...♥...Bisous...♥...Bisous....♥...Bisous ♥♥♥♥...Bisous...♥♥♥♥.
ღ ♥♥Ce petit coeur pour te remercier ♥♥
...ღ ♥♥de ta gentillesse et ta fidélité ♥♥
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..ღ.....................ღ..................ღbonne journée
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.....................ღ gros bisous

yayy2  le 31-01-2008 à 13:48:14  #

petit cadeau pour toi sur mon blog

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mouna  le 29-01-2008 à 19:25:09  #   (site)

une petite visite pour te souhaiter une bonne soiree
a + biz

mouna  le 26-01-2008 à 21:33:20  #   (site)

CERTIFICAT D’AMITIE! Envoie le vite à ceux qui méritent d’être serrés dans tes bras mais aussi à celui ou celle qui te l’a envoyé s’il le mérite également Si – Tu le reçois 1x en retour : Ouvre-toi ! Fais-toi de nouveaux amis. Tu le reçois 2x en retour : C’est un bon début. Tu le reçois 3x en retour : Tu es un très bon ami. Tu le reçois 4x en retour : Tu es aimé. Tu le reçois 5x ou plus en retour : Les anges veillent sur toi !! bisous

yayy2  le 25-01-2008 à 10:56:21  #

c un beau texte
bonne journee a toi et a tres vite pour te lire
bisous

esuna  le 21-01-2008 à 00:20:28  #

Je reviens demain pour tout lire tranquillement, il est tard pour moi ce soir.
Gros bisouxxx, prends soin de Toi.

aurore  le 20-01-2008 à 23:25:05  #   (site)

ouah...tu es courageuse !!..Bonne semaine big bisous

 
 
posté le 20-01-2008 à 18:12:04

Clo and Kate Suite de la page 8

 

 

Inconscience des songes recouvrait immensité bitumeuse de Manchester; Ce trompe-œil artificiel digne des attraits de l’olympe, pansait cette réalité que les première lueurs du jour s’exhalera à nouveau. Parmi cette multitude de pointillées cendrés, l’une d’eux s’extirpe, s’étire, et précisant ses contours, l’ombre d’un homme remontait la rue. De son bonnet jusqu’aux gants qu'il portait, il devait forcément craindre le vent glacial qui balayé la ville. Quand il fut au devant du 874 de la rue, il fit mine de sonner. La lame de lumière qui l’éclaira, dévoila l’inconnu: Roses. Roses, vo­guant entre un regret et de multiples plissures et déchirures amoureuses. Pendant que Clo se remodelait dans Camden Street, Roses rangeait dans son tiroir, ou s’oublier les lianes de ses amours, une autres lianes qu’il espérait ambitieuse et salvatrice. En croire certaines langues, ce dernier devait être étranger pour croire qu’il puisse envisager une vie commune. A le voir s’avançait entre les passants et seul, Clo savait déjà que Chris venait de déchiré ses espérances. C’est lorsqu’elle le recevait maquillé dans sa tristesse et ses incompréhensions, qu’elle obstinait à propos de reconju­ger «l'other»: le regret, l’éternel amour de Roses. Tous s’accordés a la contredire mais Little Boy se confinait et ceci depuis plus deux ans. Leurs âmes troublées s’unissent sous les vapeurs de leurs thés ; Les mots avaient épuisés leur recours, « Little Boy » s’absentée derrière ses phrases ; elles étaient ternes et leurs impactes étaient remis en question. Dès lors que le regard fuyant de Roses, s’arrêta sur ces deux jeunes personnes en contemplation sur la vi­trine d’en face, l’évidence fut pointée : Prétextant une visite, se faisant pardonner cette abandon, Roses s’était en­gouffrait dans la foule jusqu’à la gare. La chenille l’emmenant vers Manchester aux premières heures nocturnes.


  • « Kate, quelqu’un veut te parler » prononça sa mère, qui suffoquait qu’un inconnu puisse les déranger

  • « Roses ? Je sais ce que tu veux ?... Roses…. Je n’ai pas besoin d’un sermon, please »

  • « Kay, shit, Qu’es ce qui t’as pris ? Kay ?....

  • « I know, Roses ! »

  • « Tu avais promis, kay, tu avais promis de la protéger ! Tu te rends compte de ce que tu lui a fait?...Kay… Sais tu à quelle point elle souffre ? »

Roses s’efforçait de garde son calme mais la colère le ravageait de plus en plus. D’autant que la fausse apparence de kay l’étirait d’avantage. Sa voix lui perçait toutes ses résistances

«Roses,.. You thought that….

  • «I thought why? On ne te demande pas de penser, Kate mais d’Aimer! You are thought? Parce que tu penses que t’éloigner d’elle est une bonne solution, peut-être? Je vais te dire ce que je pense, kate. L’aime tu vraiment, Kate? Tu te mens à toi-même!

  • «Roses, je t’interdis»

  • «Tu m’interdis? (You forbid me?) Alors pourquoi tu es toujours ici ? Pourquoi tu n’es pas retour­née lui parler? Tu as juste fuit, kay? …Tu espères qu’à ton retour elle aura oubliée? Tu te trompes Kay. Crois moi….

Les ricochets sonores de leurs confrontations vinrent picorer la conversation familiale, ni tenant plus, sa mère s’avança jus qu’au salon : A sa vue, Roses s’éteint, dévisagea Kate nouée, épuisait les échappa­toires.

  • «Kate? You can say me…? Découragée par son mutisme, elle s’adressa à Roses «But who are you, Mr? Que reprochez vous à ma fille? (What do you reproach for my daughter?)

  • «It is nothing, mum. I only forget a rendrez-vous with a friend. And he is worry… You’re wel­come, mum, it’s ok.»

  • «Es-ce une raison suffisante pour qu’il te parle de cette façon?»

  • Don’t worry, mum. Leave us alone, please” égrainée de stupeur, elle quitta la pièce. Aplanissant les ruines de la violence, Roses capitule sur le canapé et d’une voix exténuée, il repris :

  • «Kate, j’en ai assez. Comment te dire… il m’est insupportable de la voir ainsi: elle n’est plus que cette division qui la contraint en permanence: je l’observe parfois étouffée ses peur, s’efforcer à nous faire confiance. je souffre de n'entendre que ses accents de dissimulation. Kate, je ne peux te reprocher tes doutes. Mais tu dois te pardonner à toi-même pour elle et pour toi. Ce pardon est nécessaire. Sa mémoire est une arme que l'on peut difficilement contrôler. Et Little Boy aura besoin de toi lorsqu'elle sera.

  • but his heart was fallen in love with her and She betrayed her and I forgot that a heart who bleed, is as dangerous as a men who drink I would never have to leave that night. And....


L'évidence guidèrent leurs gestes,

  •  

  • Je me souviens qu'elle voulais “être”. Je l'ais vu se modeler, et enfin se crystalliser. My Little Boy était de nous, l'innocence avais disparue, il voguait avec aisance. My brother était autant moi, que lui. Mum m'avais prévenu mais il était tellement de nous, tellement parallèle... Little Boy was so free. Je n'aurais jamais cru qu'il irait aussi loin mais Little Boy était entièrement de nous. Je l'ai vu se lier, se malaxer et se démêler avec autant de facilité que moi



Ses yeux, sa voix ne voulais suppliant mais Kate n’avait nullement envie de couvrir ces indécis. Sa conviction se devais être là, elle lui fixais cette étrange sensation qu’elle devais retracer Clo, pour pourvoir la sauver.

  • «Roses tu ne crois pas qu’il est temps à présent, de m’expliquer, non! Comment veux tu que je l’aide sans même savoir à quoi m’attendre! Roses, ne meprend pas pour une idiote. Je sais com­ment tu vis!»

  • «Kay… Si je devais emmener quelqu’un, ce n’est pas toi ! Tu commences juste à t’accepter! Kay, Clo, n’a pas et aussi étrange que cela puisse être, Little Boy n’a pas eu besoin de l’accepter, il s’y est glissé et sans même un note de certificat, il est lui !

  • « Kay, pour le moment, aime la et pour ça….C’est moi qui m’emmènerai Quand à toi, c’est moi qui décidera, fais moi confiance Kay, je sais exactement ce que fais!»

  • « Roses tu veux renter à Londres avec moi?» lui lança-t-elle alors qu’il s’apprêtait à extraire de sa présence.

Souffles imperceptibles de ces mots qui semblent presque dérisoires, Kate n’eut que sa conviction confirmait et Roses n'eut alors cette angoisse qu’il faudrait ramener Little Boy à la vie. Ses convictions, et certainement pour avoir connu Son Little Boy, étais que tôt ou tard, Mum devais elle aussi se rendre à cette nécessité, Clo retrouvera Little Boy et ce dont il était sûre qu’il devrait se souligner malgré cette nuit là, celle dont sa révélation serait à la fois une libération et une gangrène. Ce dont il doutais le plus s’était Kate, qui n’avais hélas nullement les dispositions et il ne souhaitait guère une traîtrise entre lui, Kate et clo.

 

Page 9

 


Avec vos soins

 
 
 
posté le 20-01-2008 à 18:04:53

Clo and Kate Suite de la page 7

 

 

 

Kate s’étalée sur les fauteuils de cuir d’un train, qui se rappelait à elle. De ses yeux qui feintent d’être hypnotisés par ses rayures multicolores de ce paysage aussi habituels qu’étrangers, ses remords la détrompée dans sa quête de sérénité. Avec sincérité, elle s’y vautrait depuis l’aurore matinale et s’était contraint à une flagellation parentale, dont par toute vraisemblance, aucune mise en demeure de son retour, considéré comme un échec et d’autant qu’une mise en cause qualifié de « psychologiquement insensé» devrait l’atteindre. Néanmoins, il lui sembla inutile de ruminer ses regrets, et rejoindre Clo lui parut inopportun, et puis par subjections éliminatoires, elle vint à penser qu’elle n’avait point agréé ses « de­voirs filiaux ».

Cristallisée qu’elle était, ce fut des cris tonitruants qui la transperçant et la fit renaître dans cette exactitude moderne. Un sursaut, combinait d’une surprise inégalement échappée, elle traça l’évidence : « Already !» lança-elle. D’un pas assurée, ravalant un soupir, elle s’élança lorsqu’un ”Hello, Welcome Manchester !” l’intercepta brusquement.  “ Harting, Oh no… “s’offusqua-t-elle. Harting ou le complexe d’une relation sans envergure ; héros malgré lui d’une satire relationnelle qu’elle aurait souhaité solutionnaire ; Mais dont l’écho floua irrémédiablement les convictions. Elle corrompu avec une agilité, cette relation qui eu de cesse de lui imposer l’inévitable échec. “Harting ! Or the eternal optimist”. Susurra-t-elle « he isn’t changed…, always enjoy, nice, very nice, but idiot. He never had realized… What pity!”

  • Hello, Harting, How are you? commença-telle

  • I am fine. I knew what you left to Frances, didn’t you?...

  • yes, I did

  • You wanted to work over there, didn’t you? Are you always working over there?

  • No, I am not. I realized that I must return here. And you, what are you doing, now? You must are institutor now?

  • yes, I am. And…. very happy. And before that you say me, I choose in keeping with my­self, to stay here: I am working since I got my diploma….And as I always became attached to my quarter then I live again. You see, you had reason about me.

  • I finished…” prononça-t-il gêné par son silence. " I get married… And I also have some children. Your mother said me that you always were single.

 

Il l’observait avec une telle intensité, qu’il devait espérer une explication ; Kate n’avait nullement envie de lui confier ses ressentiments et en moins ses sentiments. Son plus grand ou­trage c’est de croire que son bonheur familial lui causerait quelles écorchures. Sa gêne qui lui était impossible à couvrir, la désespérée.

  • Please forgive me, I must left” Dit-elle avec force et douceur puis sans qu’il ne puisse lui rétorqué quoique ce soit, ses pas l’avait déjà conduit au loin.


Passé l’accueil familial si habituellement rigide, aux mondanités de circonstance, Kate vînt asseoir dans le living room, elle se résolut sans préavis, à éditer une rupture de contrat pour instabilité économique ; Par ce biais elle introduisit le « définitif » à son retour, l’éclat vocale maternelle dérouta sa fille. “Why? You give up before two years ago! Are you forget­ting your ambition and all your energy, your will, your courage, to get what you want? You, her father, you say nothing? You think to give up, it is an excellent idea!”

L’orchestre résonna fidèlement à ses prévisions, et l’intrusion joyeuse de son frère Matthew, accompagné son ”Delighted with see you again, kay”enrailla les reproches. Emporté par son en­thousiasme, tourbillon et voltige, vers un intermède gustative. Entremêlé qu’ils sont avec convictions, cette journée s’étirait aux premières pointes lunaires ; L’union familiale des O’Neal, ayant réinvestie ses drapeaux, il fut relativement impossible de refuser l’offre ma­ternelle, à plus forte raison que Kay croupissait dans son dénie.

 

Page 8

 


Avec vos soins

 
 
 
posté le 20-01-2008 à 17:35:46

Clo and Kaye Suite de la page 6

 

 

 

Londres s’était réveillée dans son vacarme ahurissant quotidien qui ne dérangeait plus guère personne ; Cette ville, semblable a toute, refermait en son sein un amalgame irrégulier en per­pétuelle rotation. Entrelacée dans l’une ses rainures épidermiques, Claudia s’était engouffrée dans cette cohue matinale d’un pas rapide, vacillant, tel un cheval aveugle au galop jusqu’à ce que sa cavalcade le fasse pénétré dans cette Black street. Déjà depuis et dés lors, les parois s’étaient attristées, une total résignation, une contamination générationnelle : Tout y respirait des parfums d’emprunt, poussiéreux, souillés, usés, parfois reliquaires, à jamais teinté d’injures, d’amertumes, souffrants d’infortunes, imprégnaient de cet immanquable rareté, un continuel « trop peu », un luxurieux manque inlassable.

Lorsque la fougue chevaleresque, s’exténuée, elle stoppa sa course au centre de ce paysage symétrique hors du temps, où pas une fenêtre, pas une porte, rien ne désobéit, rien ne choque si ce n’est cette atmosphère imposant de pauvreté. Claudia disparu dans la fente d’un immeuble, traversa le couloir, gravit un étage, puis un second puis finalement déboucha sur le palier sous comble, à peine parsemé par les rayons lumineux d’une ampoule, laissant une touche d’indiscrétion d’une modeste porte écaillé et éraflée. Qui pourrait croire que l’on puisse vivre dans cette entre ressemblant d’autre plus à une grenier qu’un espace habitable minus­cule ? Toujours agressé par les faisceaux du soleil, Chris l’accueilli avec toute la rigidité matinale que peuvent éprouvés ses oiseaux de nuit. L’appartement soulignait sa propre ambition. Il cautionnait un certes trop juste, simple, un doigté médiocre, mais un juste aussi heu­reux, harmonieux qu’il pourrait être. Les nocturnes l’avaient compromis à parfaire un étendard de doublons d’un tel réalisme qu’il aurait put croire à son propre sourire seulement Chris se serait lui-même désavoué.

Que sont nos yeux importuns lorsqu’on s’immisce dans les travers si anormaux de son existence :

D’une naissance glorieuse et souriante, l’épanouissement idéale que toute jeune mère s’imagine, se révéla être une utopie sans nom. L’union des Morrison se gratifia de deux enfants, dont deux faux appels et une naissance défunte. Ce qui résultat que l’enfance d’Anna et de Chris fut confourée sous des couches successives d’un amour qui se nourrit de la douleur, un amour survitaminé de prudence : la moindre écorchure, trace de sang, de douleur, la moindre l’élévation d’un dixième de degré Celsius au-dessus de 37° normal, autrement dit la moindre anomalie était prise très au sérieux, autant qu’une déclaration de guerre entre deux pays. Rien, pas le moindre objection m’était à dire, l’enfant se retrouvait devant un médecin, Qu’on les rassure rien n’y fait, on déclenchait l’état de siége jusqu’à ce que tout soit à leurs égard sans risque. Autant révéler que cela arrivait avec une fréquence inhabituelle, pourtant personne n’avait jamais pensé que leur excès à eux, devait être prise au sérieux ! Cependant comme tous adolescent digne de ce nom, ils décidèrent que passé l’âge de leurs quatorze ans, l’autorité était une arme à combattre, pour leur propre dépendance. La colonisation parentale avec excuse ou non, avait assez vécut à leur dépend. Dès lors les hostilités étaient quasi permanentes : les reproches aussi infimes qu’inutiles était l’enjeu d’un procès verbale au même titre que celles concernant leurs avenirs et ceci dans une incompréhension du clans parentale qui offusquait de tant d’ingratitude. Aux confins de cette lutte à l’indépen­dance, les deux protagonistes aussi alliés, n’en étaient pas moins deux êtres aux esprits dispachés et par voix de cause signa un traité aussi semblable qu’opposé. La clairvoyance d’Anna lui injecta l’excuse d’une aisance littéraire qui ne pourrait être nié pour s’acquitter par un allé simple. Quant à Chris, les influx complices lui témoignera une irrépressible émersion, entrava son propre devenir et n’ayant point d’autre moyen qu’une excur­sion au fin fond des méandres des alertes ignorées, pour se soustraire de la contrainte parentale. Lorsque qu’Anna obtint sa bénédiction parentale, elle s’était métamorphosée en un délicieux papillon diplômé du Goldmith’s College, et de surcroît insérée en tant que journaliste dans la société londonienne. De leurs visage souriants, fiers, satisfaits et d’une rare plénitude enfin acquis, ils dissimilaient, la souffrance de l’échec, l’incompréhension marquant l’aliénation prouvée d’une part de leur progéniture. L’insoumission zélée de Chris, traçant avec rage, la propre obstination parentale. Là où certaines âmes auraient préférées soulager leurs yeux trop exposés par la violence des nuits non couverts, Chris s’y était introduit avec une impéritie adolescente, que la foi de l’auto jugement aurait rééquilibrée son insouciance mais nonobstant l’écume qui s’y formait ne l’avait point rebuté, bien au contraire, sonnant vers ces dix- sept ans, il s’y vautrait désormais, anéantissant toute réhabilitation.

L’emprise que l’émanation solaire de ces printemps renaissant où toutes ces pointes florales annonçaient l’espoir, n’entretenait plus que de rares instants de plénitude, depuis quand ? Non son cœur de mère aimante ne saurait oublier ! A l’instant où son regard maternel s’était attardé sur cette feuille froissée et que ses lèvres avaient prononcées ses quelques phrasés d’une main devenu presque étrangère, Son corps vacilla, s’affaissa, ses yeux s’éteignirent quand le dernier mot fut dit.



Mum, I can’t make a show of… I don’t want your help. You don’t want understand but I must leave. You never know again your son. You won’t be able to admit which I am and which I will become

So I WILL NEVER COME BACK; DON’T LOOK FOR AGAIN ME NEVERMORE

FAREWELL I HATE YOU


D’une démarche désarticulée, elle franchit l’embrasure du sanctuaire, la refermant avec gravité, semblable à nos ancêtres pharaons qui scellés pour des siècles la tombe mortuaire de leur défunt souverain. Son fils lui apparu dorénavant étrangers ce résonnant fantomatique : son fils n’était plus. Ce fils tant aimé, n’était plus. Dans cette incapacité, de ce plafond ob­servé, pourquoi Dieu avait-il peut permettre que ses enfants puissent l’avoir abandonnée ?


Devançant son désappointement, Chris s’octroie une présence hospitalière : café et sourire et revient s’asseoir en face de « Little Boy ». Surnom de l’envers à soi-même, ou l’indescrip­tible besoins d’être autre.

  • Little Boy… “Commença-t-il. “ She can’t forget…” En si peu de mots, il venait de résumer ce qu’à peu être leur premier réveil.

I know, what I do, now? I would believe what all would…is fine. You understand. But She is angry… anger with herself, I suppose… anger with me and she… Rose, why? If she wants live with me; why she wants to discuss that again? It is finish, isn’t? Roses, say her, please »

Sa voix se faisait fragile et suppliante, teintée d’innocence. Depuis la nuit des âges, l’intelligence réduit l’être à cette esclave d’expanser, de repousser les limites du simplisme. Saurions lui contredire cette analyse : Eloignant étant leur ennemie et par état de faite, leurs communion les soulagent. Si l’être humble existerait, il lui suffirait d’une goutte d’oublie, d’une sourire et une bonne charpente pour le futur. En l’occurrence, si vous étiez aux portes de la mort, curieusement les êtres se permettent des raccourcis prodigieux ; l’enfantillage des circonstances. Or Kate, être humain à part entière, dotée d’une intelligence et que plus est contraignante, souffrant de ne point comprendre. Pour Kate l’incompréhensible résidait dans le fait qu’elle ne pouvait encore d’admettre cette notion, au combien subit : le rejet.

  • « Little boy, listen. She needs of the time;..”

  • Needs Time? Why? Roses, Two years without her! I don’t understand : she say She love me, and she needs me and this morning, she angry with me. It isn’t my fault. She doesn’t accept, isn’t it? Roses

  • Little Boy” listen me, please;” Repris Chris mais Clo ne lui permis plus de prononcer un seul mot. Elle-même soumis à sa propre colère, elle s’agitait à travers la pièce, déversant une logorrhée devant un Chris que seul les expressions faciales lui parlaient. Lorsque sa voie vacilla, Chris s’approcha et lui tendit ses bras où elle put apaiser aussi bien sa colère et sa douleur ; il finit par lui susurrer “I talk her. Don’t cry, Little Boy. I talk her; Things will sot themselves out in the end… I promise you

  • Roses, I can ask a question? Repris d’une voix tremblotante, tentant de se ressaisir, Claudia se dégagea de cet étau, essaya ses larmes, et s’approchant de la lumière matinale. Un spasme lui traversa l’esprit, il ne doutait guère de cette prochaine question : Claudia le lui avait mille fois posée et mille fois, il avait dérobé la réponse ; se jouant par des « I can’t talk… It’s finish… I don’t want…» qui avait eu, au contraire, autant quadruplé sa curiosité, autant piqué sa maturité. Sa complexité était que Clo avait un besoin effrénée de protection qu’elle obtint avec aisance, cependant elle se contorsionnait dans sa vexation quant il s’agissait de Roses. : Chris aussi libre soit sa vie amoureuse, il n’en demeurait pas moins prisonnier : Prisonnier d’un souvenir. Sans qu’elle put émettre un sons, il la devança

  • My story isn’t yours Clo ! And don’t cry, please, I don’t talk you. I know you became a good actress.”

Il la fixa attentivement, et comme cette dernière ne rétorqua aucunement, il pensait naïvement que Son Histoire lui serait esquivé. Au dehors, la fourmilière noire désormais grouillait à son zénith au cœur de la ville. Cette dernière n’obtiendrait une discrète alcalmie qu’au tard dans la matinée prochaine. « Little Boy » restait confinée dans son silence, le regard fixait sur cette fourmilière, se revoyant assit à la terrasse d’un café, un voyeur de nostalgie et de rêverie, qui s’imaginait à la place des gens qu’elle souhait selon son humeur, mariés, sépa­rés, heureux ou malheureux, et si sa propre tristesse l’a succombée, elle les suppliait d’être amoureux d’elle. Au-delà de toutes ses espérances, elle supplantait sa tristesse, l’a croyant sacrifiait, elle s’était de nouveau rassit sur cette terrasse à regarder les passants. Sous l’inspiration d’une rancœur, Little Boy se retourne brusquement et d’un ton qui se se­rait dit tout aussi bien, autoritaire, désespérant :

  • “ Roses, say her what she love me”

  • Little Boy, she know what she love you” s’insurgea-t-il

  • Say me, why I am here?... Talk her or…”

  • Or…?” l’interrogea-t-il, déjouant sa menace, qu’il aurait eu pris avec gravité avant hier, cependant il connaît Little Boy avec une exactitude implacable. Dépitée, elle déverse un « excuse me Roses but I need her. I dreamed much this return and I imagined myself… a romantic diner… with candles and the roses and….the music…your music and I am here, now. » avec l’intonation d’un dévot dévoilant sa culpabilité. Roses l’encerclât de sa tendresse compréhensif ; Ils restèrent ainsi espérant l’apaisement lorsque ils entendirent des craquements du plancher puis ceux provoqués une main contre la porte. Interloqué, leurs regards se croisèrent puis s’avança, et ouvrit la porte ; D’une voix qui se veut grave et autoritaire, l’inconnu proféra « Chris, we must talk ». En peu de mots, Claudia se déclara dorénavant gênante et s’éclipsa avec la rapidité d’un volatile pris en chasse.

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Avec vos soins

 
 
 
posté le 20-01-2008 à 17:17:10

Clo and Kate suite de la page 5

 

 

 

Avez-vous parfois pensé que les sourires se ressemblent mais à bien des sens ils sont pourtant si différents.

Dans ce clair obscure, religieusement silencieux, ses yeux l’observaient tendrement, presque maternellement, essayant de redessiner ses traits, de réapprendre l’inconnu, de s’adapter. En cet instant où régnait enfin un rayonnement de bien-être, la frayeur la saisit : Elles n’avaient jusqu’à lors eus qu’à conjurer leurs douleurs, il fallait dorénavant conjuguer le bon­heur. Cela paraîtrait d’une facilité déconcertent pour vous : la simplicité d’un sourire vous auriez suffit, un mot tout au plus pour assouplir les contours…une clefs et voilà. Approchez vos yeux, mettez y les doigts et diluer ces deux identités dont le temps ayant laisser sur eux des pointes de rudesse, ainsi vous seriez bien en peine d’obtenir une couleur limpide.

La floraison amoureuse étant déclarée, Kate eut cette étrange sensation que l’amour n’est d’une fine enveloppe qui entoure d’autre, plus complexes, et c’est ces dernières qu’elles 120 n’avaient jusqu’à lors jamais imaginées, entrevus ou ajustées aux saisons venues. Elle songeait que son ange reflété une plénitude biblique et elle aurait souffert de l’extraire de son sommeil : Son épanouissement offre à cette privilégiée une peinture, démontrant qu’un être fut belle et bien des créatures d’un Dieu aimant. Son regard la couvrait encore lorsque d’un sourire se dessinait sur l’ange : un sourire aussi fragile que le cristal et aussi tendre et voluptueux que le soie, lui soutenait le sien. Elles restèrent suspendues au regard de l’autre, Nombreux sont les moments où les mots seraient mal appropriés, même démystifierait l’instant merveilleux éprouvé les un envers les autres. Et inconsciemment elles ressentaient qu’un geste, un mot eut été superflu, elles n’en éprouvaient d’ailleurs point le besoin. Leurs sourires leur prouvaient autant si ce n’est plus que leurs amours s’unissaient, que ce matin, signait, scellait le devenir qu’elles éprouvaient ; elle voulaient d’ailleurs ne point brisaient ce confort silencieux, désirant partageaient seules le rayonnement d’une perfection que seul les peintres célèbres savaient représentés, qui se dégageait de cette alcôve.

Curieusement, l’esprit ne donne rarement d’explications aux gestes aussi simple qu’un doigté soyeux sur le reflet d’une autre. Ne soufflant aucune syllabe dont la résonance serait in­acceptable à cette heure, Butterfly s’épanchait avec une délicatesse irraisonnée auprès de cet accord, y percevant les moindres souhaits, tout en atténuant les gènes, elle les épanouissait. Plongées au cœur de cette imperfection irréprochable les mots naissent : « We… » prononçait avec un filet de voix aussi fébrile qu’elle pouvait l’éprouver, sans regret mais cependant sur la pointe, elle lui confia le symbolisme : un « We… » répétait jusqu’à que l’écho lui revienne. Emis lui aussi avec pudeur, s’entendit à peine, une respiration accompagnant une autre ; L’écho s’improvisant le libérateur d’une matinée trop prononcer. Ce « We », enchaînant l’autre, et estimant trop solitaire, il vient apparaître d’autre : « Why ?... » Un why répétitif, et puis l’ébranlement : « Why … Why did you let me go? Why did you say me nothing? (Pourquoi tu m’as laissée partir ?... Pourquoi tu n’as rien su dire ?)... Why ?...  ». Les mots lançaient avec colère, percutent ses yeux d’ange qui la regardait avec un précieux parfum d’inquiétude, de regrets, de tristesse… et un grain d’indéfinissable. Ces « why » empoison­nèrent toute la pièce, s’infiltrant dans leurs esprits et que leurs intelligences auraient sou­haité être vexé face au manque d’explication qui aurait du s’imposer. L’écho revient cette fois-ci avec l’ignoble ignorance. Elles étaient soit coupables de lâcheté, d’avoir succombées à cette facilité…soit coupable d’avoir aimées sans mesure, d’avoir tracées les limites au mauvais endroit. &Eacute;branlé cette harmonie, ébranlé comme autrefois soumise à cette vérité et pourquoi fallait-il de nouveau y recourir ? Quelles nécessités en récolteraient –elles ? Les mains serraient, les perles ruisselantes, l’une contre l’autre, aussi éloignées qu’au paravent et pourtant si proche aujourd’hui. Il serait dit que ce « why » flotterait autour d’eux encore…

Elle entendrait comme une évidence ces pas sourds sur le planché, ces sonorités de reproches, qu’elle ne pourra point soustraire à la critique. Quand ses sens furent soumis dans un vide, telle une momie dans son propre sarcophage, Kate savait que son ange ne l’attendrait pas dans un recoin de l’appartement.

 

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Avec vos soins

 
 
 
 

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