Que de fantaisies s'est infiltrées en moi!
Quel irresponsable transporteur s'est convertie pour me condamner
J'ai décidé de plonger mes yeux sous les astres. Une idée comme une autres pour ne pas pointer ma fée de la tristesse.
Claudia est d’une beauté commune aux tristes destins. Sous l’influence d’un courage inopiné, elle posta une annonce d’une innocence rare dans l’espoir d’une âme anglaise et charitable lui propose son amitié. L’espoir est parfois d’un cruel qu’elle perdu cette dernière au recoin de ce chemin hasardeux. Aussi imprévisible que soit cet esprit en peine qu’elle s’introduit dans une conversation étrangère sans en connaître les véritable codes linguistique. L’accueil fut à l’heure pour lui apporter son sourire mais ce dernier connut une existence dés plus courte. Ses écris fut ironisés jusqu’à l’ignorance qui figea sur elle la tristesse et le détresse. A l’instant où les songes ne sont plus, un inconnu vient prendre la main de l’innocence pour lui la remplir d’un renouveau de bonheur. A la fois intrigué, et curieuse, elle pose délicatement le pas sur ce terrain étranger et pourtant il ne fut point si éloigné qu’elle le supposait. Habitant sous un mon d’emprunt, « friendly », les mots devinrent familiers, leur tonalité anglaise apparut d’un français brillant. Claudia reçu un matin une aide cordial sous ses termes :
Elle n'a laissée que ces mots sans comprendre, sans savoir, sans déviner
Avant lui, je n'étais qu'à peine un grain de sable.
Sous ses yeux je me suis sentie vivante.
Oh quelle douleur je suis le prisonnier
Mes mots ont épuisés ma déraison
Démoniaque obssession
Comment peut-on vie si l'on ne peut survivre et survivre si l'on veut mourrir