posté le 15-06-2007 à 10:28:10

Roses Bloody

 

 


Avec vos soins

 
 
 
posté le 15-06-2007 à 10:25:11

Nostalgie rosâtre

 
 


Avec vos soins

 
 
 
posté le 11-06-2007 à 17:03:07

Soleil d'Hivers



Elle n'était pas du genre à se faire remarquer.no late for you
C'était jamais elle qu'on invitait à danser.
Elle avait plutôt l'impression de gêner.
Peut-être avait-elle envie de tout casser.

Elle habitait plus loin, dans la rue d'à coté.
Je suis sûre que vous l'avez déjà rencontré.
Son visage était transparent comme l'été
Mais elle avait toujours l'air de s'ennuyer.

Elle voulait toucher le soleil.
Rien ne sera pareil,
Perdu dans son sommeil
Et puis les nuages étincellent
Sur des étangs de miel
Et mes larmes s'emmêlent.

J'ai toujours su qu'elle allait partir en fumée.
Elle aurait tout donné pour se faire oublier.
Un matin, en silence, elle s'est défilée
Et elle est partie sur la pointe des pieds.

Elle avait décidé de ne plus s'inquiéter.
C'était la fin de l'hiver, mais elle s'en foutait.
Again a little timeAu bord du quai, doucement elle a sauté.
Ses cheveux, lentement, dans l'eau ont flotté.

Elle voulait toucher le soleil.
Rien ne sera pareil,
Perdu dans son sommeil
 Et puis les nuages étincellent
Sur des étangs de miel
Et mes larmes s'emmêlent.

Elle avait décidé de ne plus s'inquiéter.
C'était la fin de l'hiver, mais elle s'en foutait.
Au bord du quai, doucement elle a sauté.
Ses cheveux, lentement, dans l'eau ont flotté.

Elle voulait toucher le soleil.
Rien ne sera pareil,
Perdu dans son sommeil
Et puis les nuages étincellent
Sur des étangs de miel
Et mes larmes s'emmêlent.

Elle voulait toucher le soleil.
Rien ne sera pareil,
Perdu dans son sommeil
Et puis les nuages étincellent
Sur des étangs de miel
Et mes larmes s'emmêlent.



Niagara






 


Avec vos soins

 
 
 
posté le 10-06-2007 à 10:53:19

Je t'ai vu, Toi, Mon Amour,

Les mots me sont sans savoir si ils sont leur inscriptions quelque part.

Mon optimiste m'empèche tout chantier d'archéologie

 

Je t’ais vu, toi, mon amour,

Les aimer insouciante,

Te soutenir, moi, imprudente,

Nous n’étions aveugles,

Attirez, aimantez vers ces promesses

Unité de nous au travers d’eux.

Je t’ais vu, toi, mon amour,

T’écrire d’eux, me gommer, parfois,

Et sans préavis, nous gommer,

Sans controverse, tu leur étais,

Sous tes entre face, je te pardonnais,

Conforté sous tes convoitise à mon égard.

Je t’ais vu, toi, mon amour,

T’ensevelir d’innocence,

Inconsciente, te maquiller de lui,

T’étinceler, te pourprer

Sans te l’avouer, l’aimer par entaille

Naissant aux extrêmes, tu lui étais…

Alors je ne t’ai qu’entraperçu,

D’images semi translucides, ondulantes,

Je t’ai vu, t’enchaîné de leurs empreintes,

T’éreinter de leur incandescence d’eux,

Renaître chromosomiquement* modifié,

De toi, étranger mais sublimé de cette amour,

Je n’ais pu t’inspirer ce présage,

Les ébauches s’accumulées autour de toi,

Brusquement, je t’ai vu, te transpercer pour eux,

T’éclabousser dans leurs yeux ahuris,

Sans de l’avouer tu te transpirer de lui,

Effrois d’être cet innocent de l’incompréhension,

Ce ruisseau de larve s’écoulant dans leurs plissures.

Je t’ai vu, toi, mon amour,

Maculé, transfiguré, déposé sur notre rivage,

Je t’ais recueilli, démaquillé d’eux, d’ennuyant de lui,

Tes yeux livides ne reflétaient plus une once de toi,

Tu m’étais mien, dorénavant, hélas sans espoir,

Fleurissant de milles feux l’ultime étreinte fané.

Je t’ais recherché, toi, mon amour,

Exactement, dans toutes les autres,

Amoureux hypocritement de leur délicatesse,

Manipulant leur identité, les oxydant d’eux pour toi

Détenteur assuré de ma défaite, tu étais toi, l’unique,

Je ne su que me noyer, sombrant moi-même.

Comble de cette dernière corrélation, nous, lui, eux ;

Je t’ai symbolisé jusqu’aux derniers :

Dernier regard de toi pour lui, pour eux,

L’eu-t-il voulu, que nous soyons encore, nous,

L’apothéose rayonnant entremêlée,

Souriant de nous, lorsque ces derniers me convola.  

Qui nous a vus, nous, mon amour ?

Qui nous as signifié que nous soyons nous ?

Pourquoi n’as-tu point dévisagé l’imprudence,

Pourquoi ils sont toujours nappés de leur étonnement ?

(fiction)

Liens
Réveries

 


Avec vos soins

 
 
 
posté le 05-06-2007 à 00:30:31

And si l'on parlait un peu de liberté!

Je vous détrompe en vous dénoncer qu'il ne sara point de ses grand idéologie ou l'on prie avec enthousiasme à la paix dans monde ( voire registe éternité)

Non ce dont, je m'émerveille ce sont ses assez peu de l'on vous reproches de vouloir.

Vous sous vos air de grande indifférence, vous aimez, voire celà vous parait même nécessaire, une évidence (en fait pour autres c'est juste un fait disposément banale)

Dans cette si ordinaire catégorie,

je vous nomme cette l'utime liberté:

 Aimer.

Etre soit, parfois on se trouve avec surement mais hélas votre soi se dois de n'être que transparant.

Enfin cette infinie devoir de vouloir leur dires, leurs démontrer.

Et puis jour de grace et parfois au rendez-vous

Celà aternue qles quelques petit s peu mais hélas pour peu de temps

ET il y a ce quelques note qui vous êtes vous donc rien

.

 


Avec vos soins

 

schizophrenia  le 05-06-2007 à 09:40:33  #

les photos sont très jolies ...

signé : une schizo mourante
since Monday 4th [ the fourth ]

 
 
 

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