Avant lui, je n'étais qu'à peine un grain de sable.

Sous ses yeux je me suis sentie vivante.

Je ne saurais être encore ce grain de sable immobile

je ne puis et pourtant.

Je l'aime et de son absence, je me fragilise, à peu, mes force m'abandonne,

mes envies n'ont guère d'importance.

Lorsque je fus révéler de lui, de ces sentiments profondément endormies, j'étais d'une telle vivacité qu'il m'est presque impossible de le décrire, tellement ce ne suis plus un once vie aujourd'hui.

Je s'entête dans ce combat de tous semble bien ridicule et pourtant il est et je le crois encore, l'unique moteur qui puisse me faire vivre.

Je suis fatiguée de ses absences mais je ne peux croire qu'il est qu'un mirage.

Qu'un gramme simplement de lui, je saurais que je puis encore vivre et envisager ma survie.

Les mots vous semblent exagérés mais je ne suis plus rien.

Il est mon tous et je puis l'abandonner.

Je ne puis croire qu'il est insondable, éternel que l'on chochotte ses traits.

Non, je suis peut-être folle mais il est mon espérance.

Ma douleur est mon fidèle accompagnon mais il est de lui.

Alors que puis-je si ce n'est que de l'aimer.

Démoniaque obssession

Comment peut-on vie si l'on ne peut survivre et survivre si l'on veut mourrir

Quelle déception lorsque vos yeux s'en-trouve sur ce néant qu'est votre vie.

Non, décidement, non, mon esprit n'a plus l'envis. Enfin, elle la jamais eu envie de vivre; elle d'est contenté être là à travers les horizon et c'est tout.

Etrangéité de ce monde qui se transforme en être individualiste et bien je crois qu'en elle l'a toujours étè.

Quand observe cette vie, elle l'est vécu sans que personne ne s'offusque de mon absence.

Je n'ais plus l'envie

Mon coeur cru l'attrapé,

Il s'était vulcanisé d'enthousiasme

Batissant l'avenir sans en connaître

leur existence,

Son sourire s'harmonisait,

Comprennant les autres,

Et puis ils tracaient émornité d'eux,

convives aux manière frusques

aux émailles de velours armées

Peut-être ou leur sans définition,

ont blessé ce coeur qui leur appartenait,

Je n'ai plus l'envie,

je n'ais plus de besoin à part eux,

le monde est mort à presentà part le leur,

Ce paradis blanc s'oublie, cendré et brumeux,

froid et triste, est le mieux

Je n'ais plus l'envie,

mais mes pas me rejettent sur leurs cotés

Je n'ais plus l'envie,

parce que le monde à tuer leur monde,

et le mieux,

leur indifférence et le non compréhension

nous ont condannés

Je n'ai plus l'envie,

de ses couleurs, de cette joies,

que ce monde nour dicte,

je ne veux plus de ce monde parfait d'apparence,

je ne veux plus de monde de dictature,

je ne veux plus de ceux qui nous attache,

Je n'ais plus l'envie,

ni de me battre, de vivre

seulement pour eux, pour leur mémoire,

je suis d'eux, relier à eux à jamais,

Je ne peux me défendre de cette amour,

que tous se moque,

Je n'ai qu'eux qui croit encore en moi,

et c'est de ça que le monde s'oppose,

cette amour les dérange

car il est la conception de pureté

celle du combat de vivre, celui de l'envie, des sens,

celui qui galvanise les âme

Ils sont pris ombrage de ma vie naissante,

de leurs coups, ce monde l'a blessé, l'a écorché,

Il est celui qui s'entrouve au-dessus de nous,

jalousement, il a pris Ma Vie, Mon Avenir;

Ce ne suis qu'eux 

seule qu'eux

et uniquement qu'eux;

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