posté le 16-08-2007 à 18:58:26

Claudia and Kate suite



Claudia est d’une beauté commune aux tristes destins. Sous l’influence d’un courage inopiné, elle posta une annonce d’une innocence rare dans l’espoir d’une âme anglaise et charitable lui propose son amitié. L’espoir est parfois d’un cruel qu’elle perdu cette dernière au recoin de ce chemin hasardeux. Aussi imprévisible que soit cet esprit en peine qu’elle s’introduit dans une conversation étrangère sans en connaître les véritable codes linguistique. L’accueil fut à l’heure pour lui apporter son sourire mais ce dernier connut une existence dés plus courte. Ses écris fut ironisés jusqu’à l’ignorance qui figea sur elle la tristesse et le détresse. A l’instant où les songes ne sont plus, un inconnu vient prendre la main de l’innocence pour lui la remplir d’un renouveau de bonheur. A la fois intrigué, et curieuse, elle pose délicatement le pas sur ce terrain étranger et pourtant il ne fut point si éloigné qu’elle le supposait. Habitant sous un mon d’emprunt, « friendly », les mots devinrent familiers, leur tonalité anglaise apparut d’un français brillant. Claudia reçu un matin une aide cordial sous ses termes :


C’est avec une affection de tendresse que je vous vois en grande difficulté envers les compatriotes britanniques. Ne vous en offusquez pas. Je vous offre les connaissances et ma bienveillance afin de vous connaître mieux. J’ai rarement l’occasion de me souvenir de mon séjour parisien et ce serait avec une immense joie de re-découvrir cette langue si chère à mon cœur. Tom Quintown

Surpris par ce message, Claudia rendit grâce à cet inconnu. Au fil de leur correspondance, il se noua une parfaite amitié. Elle avait enfin un ami qui la comprenait et lui voué un intérêt qu’elle ne connaissait point avant. Au détour, Tom lui proposa de venir à Londres afin de lui présenter son ami que tous surnommés « mum », à cause de son caractère maternel et dans l’espoir de l’éloigner de sa solitude. Mum, qui s’était attaché à cette demoiselle, fut catégorique à ce sujet et imposa à Tom de se rendre en France et de la ramener à Londres. Ce dernier amoureux ne désobéir pas. Sous un soleil brûlant, Claudia, caroline de son vrai nom, reflétée une bonheur parfait où impossible n’eut point de refuge. Ce couple bien étrange traversé l'atlantique, une limite d’un renouveau, où Claudia ne savait pas encore que sa destinée lui réservée l’envie de vivre. Aux dernières heures du jour, La Tamise se dévoilait à leur regard, London illuminait, et agitait lui fut enfin présenté. Sous ses yeux brillants, tel un magicien, les touches de couleur apparaissent spontanément mettant en scène les acteurs de cette nuit si ordinaire et pourtant si inattendu et inédit. Au coin d’un quartier, le carrosse de cette princesse française, s’éloigne de ce théâtre, préférant le silence d’une rue de quartier où la symétrie des maisons rivalisées avec leur ressemblances. Le véhicule s’arrêtât au niveau d’une demeure de briques rouges, assombrit par le temps, une grille aux lignes noires cloisonne une courette, aboutissant sur la porte d’entrée et les fenêtres blanchâtres. Cependant, voilé par les rideaux de dentelle, une ombre semblait surveiller ou attendre son âme sœur. Tom n’eut point à craindre cette présence puisse qu’il en connaissait les attraits. Il n’eut d’ailleurs point le temps d’ouvrir sa porte qu’elle le fit à sa place s’offrant au grand jour avec un sourire. « My baby » prononça-t-elle en tombant dans ces bras. « Mum, I introduce you, Claudia, our french girl, Claudia I introduce my love » répondit-il. La décoration intérieure, un doux mariage entre l’élégance et la chaleur où l’harmonie régnait, affichant une gamme pâle, se jouant avec le ton écru des boiseries. Dans cette scène théâtrale qui se jouait, Mun aurait pu être un personnage indéfinissable, un jeune premier promis aux plus prestigieuses cérémonies, qu’une sensiblerie romanesque aux sourires ensoleillés, l’éclat de ses yeux noirs, soumis au contour de sa chevelure, s’unissaient cette soirée, au ton sombre d’une robe de velours. Les traits suspendus dans cette atmosphère, se distillé dans ce court d’eau n’offrant aux étrangers le doux souvenir d’une gentillesse, et d’un envie surprenante de vivre, saupoudré par une touche d’espoir.

Comme sous les yeux d’un réalisateur, Londres révéla ses secrets uniques, ses empreintes historiques, ses décors traditionnels aux retouches modernes, cette fourmilière humaine, une roue perpétuelle, registre d’une société jusqu‘aux portes nocturnes. D’un simple récit de quelques jours de vacances, et sous les écrits naquis une force qui brisa l’enveloppe originale, sculptant un désir de vivre au comble du déraisonnable. Un lien fusionnel qui s’établit entre Mum, l’âme d’une mère et Claudia en quête de tendresse maternelle, d’attention et d’écoute; Deux êtres dont leurs cœur d’enfant fut brisés, meurtries, reflétant une angoisse au travers de leurs gestes. Claudia laissait enfin transparaître les vérités de ses larmes, de simples mots aussi ordinaires mais qui traçaient ses sentiments solitaires et apeurés; une main, un sourire, une écoute et une voix suffisent pour faire naître un reflet libre de Claudia et c’est cette étrangère à elle-même qui retraversa l'atlantique.

Suite de la page 1

 

Page 2


 


Avec vos soins

 
 
 
posté le 16-08-2007 à 18:15:56

Sorcellerie

Les couleurs me sont maitres mais mes gestes se jouent de moi assez régulièrement.
Et je suis un opportuniste lorsdque je laisse mes mains s'accomplir à mon goûts.
Remplie de je ne sais dans mon esprit.
 
 


Avec vos soins

 
 
 
posté le 16-08-2007 à 17:31:53

The Death of a Son

Il existe à peu près tout,
à par peut-être l'évidence
 


Avec vos soins

 
 
 
posté le 14-08-2007 à 12:01:50

AND YOU!

 Elle n'a laissée que ces mots sans comprendre, sans savoir, sans déviner

why? 

 

Et toi,

Regardez vous encore le reflet qui soupirait hier ?

Y trouvez vous encore les douceur de votre cœur ?

Y voyez vous encore les consolation d’hier ?

Vous trouvez vous encore dans leurs bras à l’abri ?

Daignez vous encore vous étendre comme hier ?


Et toi, Mon sourire,

Vous y trouvez vous encore ?

Non j’y vois !

Qu’es-t-il devenu Mon sourire qui eu de cesse d’apaiser, d’accomplir par sa seule présence ?

N’y tracé plus votre sourire d’hypocrite, n’y imaginez plus votre devenir ? Cette dernière vont étant était votre condamnation.


Et toi,

Ecoute moi ! Puisse que maintenant, c’est tout ce qui te reste à faire !

Ecoute mon garçon. Ne creuse plus, n’enfonce plus tes ongles dans l’espoir, ils t’ont trahi. Pauvre toi, irrésistible amoureux. Que puisse te dire, Toi, qui n’avait guère qu’eux ! Comme ravalé cette colère quand Toi, tu t’encrasse, t’engraisse de ta douleur. Creuse encore puisse il te plait de leur conjurer à leur trahison. Pille encore, transperce, épluche, découpe à la hache…. Attention, une giclée de plus ! AS tu trouvez ? Non bien sûr que non. Pauvre enfant. Quand ils prennent, la place est déserte !


Approche toi, et Ecoute bien encore, Tu n’as jamais connut de douleur plus intense que cela ! pas plus tu n’as connu d’adversaires plus pervers qu’eux.

Tu ne peut trouvez trace de ton sourire puisse ils te l’ont pris, dérobés, subtilisés, Il n’est plus dans ton cœur.

Parlons en de ton cœur remplit de leur bave répugnante de leur mensonge et c’est peu dire !

Regarde encore !


Et toi, mon sourire,

Dissez vous : vous ne pouvez vous regardez ? Alors parlez !

Vous ne la connaissez pas cette douleur là. Comme vous pouvez leur pardonner encore ! Avez-vous encore un peu sang dans votre pauvre cœur pour cela ! N’y touchez plus vous dis-je. Cela du à ce manque d’amour, à ce vide qu’il l’a laisse après eux. Je sais : je vous observais cette amour vous rendait heureux, tellement heureuse, sans précèdent, et belle tellement belle, une remarquable beauté qui n’attendait plus qu’une fin pour naître. Et je sais, en partant, ils sont tué, piétinés, écrasés, déchirés, cette vie, votre vie. Je sais !

Pleurez, encore, encore s’éteignant, les flots n’étant plus contrôlé, vos pleures sont votre seule remède !


Et toi, l’ombre,

Tu peux encore les entendre ?

Ont-ils la même voix, merveille complainte qu’ils scandaient autrefois ?

Ont-ils toujours cette même intensité qu’y scier autant ?

Ressentez vous encore coups incandescents, cette même effervescent ?

Ressentez vous encore votre pouls sont démentir de vous-même ?

Qu’importe ! Ne creusez plus en aveugle vous dis-je ! cette douleur ne rend jamais le bonheur qu’elle vous prend. N’avez pas encore compris qu’ils vous ont trahi ?

Comment, je sais ! Vous les entendez encore, votre cœur ne laisse plus transpercer votre bonheur, mais leur voix elle vous émerveille encore. Pauvre enfant que vous faite…


Et toi, mon souffle,

Mon dernier souffle, tu n’aurais jamais cru qu’ils puissent te briser ainsi ! qui aurait cru qu’ils puisse détruire un enfant qui voulait seule vivre !

Respire encore profite encore

Cette douleur là, coupe le souffle au plus jeune et la perce pour les autres

Je t’ais respiré pour y respirer leur propre souffle de vie, leur espérance, leur joie, leur gracieuses, leur merveilles, leur veloutés qui vous a recouvert de son manteau, qui vous soutenez. Je vous y ai vu dans votre superbe auprès de vous, eux.

Respirez encore les restes, les miettes de leur amour, n’y vous tromper pas, il vous appartenait. Cet élixir de sorcière vous bougonnez qu’une soyeuse façon, et nulle ne me détrompera.


Et toi

S’inspirez plus qu’il ne faut ! La douleur se nourrit de vos souvenirs. L’audace de vos recherches vous ayant conduit dans l’impasse, vous vous êtes confiné à présent dans votre mémoire. Croyez vous que ce soit plus sage ?

Votre sourire ne serait pas trop jaunit, altéré ? Comment pouvez vous accepté de n’avoir qu’un sourire rapiécé de la sorte ? Quelle ironie !

Vous dit ? Non vos lèvres ne s’animent encore mais delà les mots se sont raillés, engloutis, ravalés.

Votre sourire, ce trait invisible, ne peut plus témoigné, ne peut plus crié, il est ce que vous êtes, déversé à même le sol, étendu, déplié de tout son long, étiré, secoué par quelque relent de douleur…

Vous ne m’entendez plus, s’affaissement du comprimé, pourtant qu’un mot, qu’un doigté peut refaire naître au étrange. Une seconde suffit pour enflammer, ce qui s’éteint avec la lenteur de l’éternité !


Vous ne croyez plus ? Vous pensez peut-être ?


Que reste-t-il encore aux amours perdus, délaissés, entrelacé par les crocs du manque ?

Existe-t-il un cimetière pour les recueillir ?

Leur âme punit-t-il les autres ? Les hante-t-il d’eux-même ? Raille-t-il les amours à avenir ?

Où existe-il le marchant du sourire ?

 

 


Avec vos soins

 

aurore  le 14-08-2007 à 12:14:54  #   (site)

joli texte...bonne journée !!

 
 
posté le 11-08-2007 à 22:59:37

Avec mes voeux d'espoir!

Pas de grand discout ce soir, non,
j'ai décidé de laisser mes larmes et mon tristes regards quelque part
sous la lune, peut-être.
Ca fait des jours que je cohabite avec cet ombre et
pourtant je sais qu'elle doit forcément avoir tort.
Bonsoir à ceux qui prennent le temps de lire mes larmes
 
 


Avec vos soins

 
 
 
 

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