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Titre du blog : Saison D'Automne
Auteur : Thek
Date de création : 26-04-2007
 
posté le 10-06-2007 à 10:53:19

Je t'ai vu, Toi, Mon Amour,

Les mots me sont sans savoir si ils sont leur inscriptions quelque part.

Mon optimiste m'empèche tout chantier d'archéologie

 

Je t’ais vu, toi, mon amour,

Les aimer insouciante,

Te soutenir, moi, imprudente,

Nous n’étions aveugles,

Attirez, aimantez vers ces promesses

Unité de nous au travers d’eux.

Je t’ais vu, toi, mon amour,

T’écrire d’eux, me gommer, parfois,

Et sans préavis, nous gommer,

Sans controverse, tu leur étais,

Sous tes entre face, je te pardonnais,

Conforté sous tes convoitise à mon égard.

Je t’ais vu, toi, mon amour,

T’ensevelir d’innocence,

Inconsciente, te maquiller de lui,

T’étinceler, te pourprer

Sans te l’avouer, l’aimer par entaille

Naissant aux extrêmes, tu lui étais…

Alors je ne t’ai qu’entraperçu,

D’images semi translucides, ondulantes,

Je t’ai vu, t’enchaîné de leurs empreintes,

T’éreinter de leur incandescence d’eux,

Renaître chromosomiquement* modifié,

De toi, étranger mais sublimé de cette amour,

Je n’ais pu t’inspirer ce présage,

Les ébauches s’accumulées autour de toi,

Brusquement, je t’ai vu, te transpercer pour eux,

T’éclabousser dans leurs yeux ahuris,

Sans de l’avouer tu te transpirer de lui,

Effrois d’être cet innocent de l’incompréhension,

Ce ruisseau de larve s’écoulant dans leurs plissures.

Je t’ai vu, toi, mon amour,

Maculé, transfiguré, déposé sur notre rivage,

Je t’ais recueilli, démaquillé d’eux, d’ennuyant de lui,

Tes yeux livides ne reflétaient plus une once de toi,

Tu m’étais mien, dorénavant, hélas sans espoir,

Fleurissant de milles feux l’ultime étreinte fané.

Je t’ais recherché, toi, mon amour,

Exactement, dans toutes les autres,

Amoureux hypocritement de leur délicatesse,

Manipulant leur identité, les oxydant d’eux pour toi

Détenteur assuré de ma défaite, tu étais toi, l’unique,

Je ne su que me noyer, sombrant moi-même.

Comble de cette dernière corrélation, nous, lui, eux ;

Je t’ai symbolisé jusqu’aux derniers :

Dernier regard de toi pour lui, pour eux,

L’eu-t-il voulu, que nous soyons encore, nous,

L’apothéose rayonnant entremêlée,

Souriant de nous, lorsque ces derniers me convola.  

Qui nous a vus, nous, mon amour ?

Qui nous as signifié que nous soyons nous ?

Pourquoi n’as-tu point dévisagé l’imprudence,

Pourquoi ils sont toujours nappés de leur étonnement ?

(fiction)