Elles sont cette beauté qui se jalouse mais elles ne sont de celles qui s'épuisent au désespoir de ces regards. Elles s'éguisent parfois comme certains, elles le sont pourtant naturellement, mais elles se savent piquantes et avec enthouaismes de quelques visages émus elles sont disposées à cacher leur si détestables épines.

Äge adulte, merveilleuses, capricieuses, parfois charmantes, parfois permissives,

et parfois follement disparues

Passant ses yeux sous ces eaux, elles se sont parfois merveilleusement paragraphées de quelques gouttes que certaines perçoivent avec leur AIR  hautain.

Sur quoi, elles ne s'épellent point de leur regards et elles se disposent calmemant sous la protection de leur Dieu.

 Just un peu,

Non ce n'est point de l'ambition démesuré,

Ce n'est point non plus l'extrèmité de ma folie,

Ce n'est que peu, ce peu de goutte d'élixir,

Ce pécule humidifiant de nous.

Non , ce n'est point de tes regrets,

Ce n'est ni de tes doutes qui m'oppresse,

Ce n'eeest que l'avidité d'être, d'envisager

Ce pécule de nous sans toi.

Non, ce n'est pas non plus de l'hérésie,

Ce n'est que de tes rejets posément ajustés,

De ce si peu, ce juste émulsifiant,

ce juste pécule de nous sans toi.

Ce n'est ni de ton enclave, de ton tien,

Qui ne s'éloigne non sans ton algresse,

Je tiens de nous ce juste ce si peu

amoncellement de nous après toi.

Non, ce n'est plus de tes étreinnes,

Ce n'est plus de tes aumones que tu protéges,

Ce n'est que de cette lumière qui n'est plus de toi,

Que tu dus nous, elle et moi, nous devenir sans toi.