posté le 16-07-2007 à 21:17:28

Claudia and Kate

Le ciel de Londres s’était assombrit et toute la ville subissait les assauts d’une pluie d’été. Dans son appartement, une ombre déambulait, essayant de surmonter sa décision. Elle avait donné une de ces preuves d’amour que l’on ne connaît qu’une fois dans sa vie. Amoureuse, son âme sœur réalisait son désir de réussite à Paris. Pourtant ces deux ombres du bonheur s’aimaient d’un amour si intense. Pouvaient-ils vivre si éloignés l’un de l’autres. 



Soudain, le répondeur s’enclenche et une voix désespérée se fit entendre :

-         « Clo, je n’en peux plus de vivre aussi loin de toi. Mon cœur se déchire, se défigure, laissant une trace si douloureuse. En partant, j’ai brisé notre amitié et surtout notre amour, Pourtant ma chère Clo, j’ai tellement besoin de ton amitié. Tu ne veux pas me parler pour te protéger et me protéger. »

 La voix se trouble et fit entendre les larmes

Clo subissait ses raffalles sanglantes de l’oublies mais elle ne pouvait se résoudre à prendre le téléphone.

La voix à l’accent anglais se dévoilée dans la langue française, reprit sous la tristesse :

-         « Clo, …T u dois écouter notre musique et aux premières notes, tu as du te mettre à pleurer. Tu as certainement allumée une bougie pour célébrer cet amour, celui que tu portes sincèrement, celui là même qui te fit prendre cette décision. My Clo, je t’imaginais dans ma détresse, cette ombre résignait à Chinatown, surveillant mon appartement, comme suppliant, en pensant que je pourrait en y ressortir comme autrefois. Je te connais assez pour savoir que tu as remplacée tes étagères de mes livres favoris, d’objets insignifiants mais important pour moi. Combien de petites boutiques as-tu visitée pour tous les réunir ? My sweet, j’entrevois ton âme perdu au cœur de toutes ses images cinématographiques, de toutes ses saveurs, dans toutes ses ruelles surchargées, en quêtes de tous ses souvenirs qui te rattache à moi….

Es ce que tu te souviens du 27 septembre, de la glace à la vanille avec du chocolat qui coulé partout, de la pluie. Nous étions trempé jusqu’aux os quand on est rentrées chez toi. Et aujourd’hui, je suis emprisonné sans cette solitude, qui n’est insupportable.  S’il te plaît, ma Clo, sauvons le peu de sentiments qui réside en nous, Clo,…, sauve au moins notre amitié,… Sauve moi. Aide moi, Clo. »

Cette voix de souffrance se heurta à l’âme de Claudia, qui l’aimait passionnément. Elle pris alors le combinée téléphonique et lui répondit :

-         « Kay, c’est moi, .. . »

-         « Clo, je suis si heureuse de t’entendre » disait elle en l’interrompant

-         « Moi aussi, butterfly. Tu m’as cruellement manquée. Je ne saurais pas te refuser cette supplication. Notre amitié est si importante. Mon cher Butterfly, reste n’est pas sauvé puisque rien est perdu. Si seulement tu pouvais revenir auprès de moi»






Leurs larmes brisèrent leurs conversations.  En effet, Kay s’était enfuit de Londres parce qu’elle refusée de consentir à ses propres sentiments envers Claudia. Pourtant cette dernière aurait voulu lui déclarer ses vrais sentiments mais elle connaissait la contradiction de son amie et je ne voulu point la heurter. Quelques minutes passèrent et Claudia reprit la conversation :

-         “Ma kay, ce n’était pas une glace à la vanille mais une à la framboise; tu devrais le savoir. Tu as raison, c’était la plus belle journée et rien ne l’aurait gâché. Je m’en souviens comme si c’était hier. Tu portais ta robe bleue que j’aime tant avec ton foulard rouge. D’ailleurs ne cherche plus, tu l’avais oubliée chez moi. Tu arrivais comme tous les matins, le sourire aux lèvres, à neuf heures, l’air décidée de me faire travailler. Mum avait préparé le déjeunée et je t’attendais comme impatiente. Une journée normal mais le destin en a décidée autrement. A la sortie du cinéma, tu m’avais demandé si je voulais une glace et la pluie avait commencée à tomber. Mais on ne voulait pas rentrer. Tu étais si belle, si rayonnante, Mon cœur semblait revivre par ta présence…. »

-         « Je savais ce que je ressentais pour toi mais c’était si dur à supporter. … »

-         « S’il te plaît, laisse les s’en aller, Kay. Nous souffrons trop, protége moi et j’en ferai de même pour toi… Tu veux que je vienne à Paris ? »

Kay ne pouvait concevoir ces paroles, elle ressentait à présent cette douleur, celle qui lui était inconcevable, était une blessure amoureuse. Elle était apeurée par la rection de Clo

-         « Kay, ne pleure pas. Parle moi de Paris »

-         « Paris ?... » disait-elle « Je croyais que je serais heureuse, mon travail est intéressant … Mais je me sent envahie par une tristesse continuelle, mes collègues sont des amis mais toi tu es si différente. On avait une relation si proche, une complicité. Ici, je n’ai plus ses repères, cette ambition me couvre de cette solitude. Je ne peux plus demeurais ainsi… »

C’était un déchirement pour Clo qui ne put retenir ses larmes et  cette minute fut interminable.

-         «Kay, Tu ne m’a jamais perdu. Mon cœur a toujours été pour toi. C’est normal que tu te sentes perdu, Paris est loin, tu n’ais jamais sortie de l’Angleterre aussi longtemps. Kay, tu te souviens de Versailles. Te souviens-tu de mon plaisir si intense, je serais là, ma Kay, au bosquet d’Apollon. Mon esprit sera là auprès de toi. C’est un maigre soulagement… » Elle s’arrête, pensif à sa proposition et puis « Kay, voudrais-tu que je vienne à Paris ? Il se peut que ce soit insupportable cette proximité mais il m’ai insupportable d’éprouver cette douleur qui t’accable »

Clo espérais un refus parce que faire semblant être seulement des amies, serait une imposture indéfendable. Un long silence pesant s’installa. Kay ne répondait plus à son amie. Et…

-         « Tu veux encore me revoir ? » Disait-elle avec une douce voix

-         « Bien sûr Butterfly ! Kay tu es et tu seras toujours ma meilleure amie. Je serais si heureuse de revoir ce si doux sourire, tes jolies yeux qui me regardaient à la dérobée, cette voix chantonnée ton sifflotement amusé quand tu souhaitais me corriger mon affreux vocabulaire. Tous me manque avec une force indestructible, continuelle et cauchemardesque… »

-          « Clo, je t’en pris… Je…. » Elle tremblait à l’idée que Claudia puisse l’aimer encore, elle qui ressentait une telle sincérité. Leurs douleurs étaient plus qu’une blessure où les efflux de sang rougissaient leur esprit dont seule leur union coagulerait ses parois sensibles.

-         « Claudia, je suis … Je suis à Londres »

-         « A Londres, quoi ! mais Kay pourquoi tu ne me la pas dit plus tôt. Enfin, Butterfly, viens, je t’en pris, viens me voir » interrompe-t-elle, surprise

-         « Claudia, je ne sais pas encore si ton cœur me pardonnerait mon départ. Mais…

-         « Viens Butterfly, je t’attend avec une impatience sans pareil »

Son esprit baignait à cet instant dans une plénitude, un sentiment qu’elle n’avait pas ressentit depuis très longtemps. Son sourire emplissait sa face, faisant d’elle un ange accomplissant l’acte de réjouissance.  





Fin page 1

 


Avec vos soins

 
 
 
posté le 05-07-2007 à 10:47:20

Une épingle plus tard!

 

Je ne dirais pas que ma vie soit ennuyeuse disons qu'elle aurait du être autre!

Parmi cette multitudes d'heures qui vous coule sans que vous voyez happé par l'envis, il vous arrive parfois une étincelle ou tout simplement un ral bol de votre "petit coin".

Elle était là toujours la même mais différente, une idée toute simple pour ne pas être cette poupée de chiffon.

Je l'ai regardée piquer, enfilée, défilée, coupée, coudre, et puis souvent inventée un recyclage de ma vieille chemise qui devait à la réflexion m'aller mais elle avait une brillance dans cette oeuvre qui passe aujourd'hui pour  inutile, démoder (excepté pour nos grands couturiers).

Dans un éclat de fièerté face à ces "petits travaux de couture", qui en fait certainement "une personne vivante"

(je vous laisse chercher)

Devant ma mine, elle eu cette réponse tout aussi simple"Tu vois, je fais"

et quelques d'heures d'aiguilles ces yeux sont fière de ce petit pas dés!

Parmi les fées et maisonnettes (merci les modéles), je l'ais vu enthousiaste et elle l'enfilla cette demoiselle ci-dessous.

Where are you?


 
 


Avec vos soins

 
 
 
posté le 04-07-2007 à 18:31:54

Us

MERCI A VOUS
 


Avec vos soins

 
 
 
posté le 28-06-2007 à 20:08:37

Juste moi et rien de plus

 

 Il y a des jours où l'on trouve que un simple petit ver de terre pourrait avoir plus d'envie de vous!

 

"le soleil ne doit briller que pour les autres"

 Il ne vous arrive rien de très grave mais malgrè cette évidence, Rien.

Ce vide qui vous ouvre les bras, vous parez être le seul qui puisse....

 


Avec vos soins

 
 
 
posté le 15-06-2007 à 10:31:08

Nostalgie 2

 



 


Avec vos soins

 

kennyprod  le 11-08-2007 à 21:18:30  #   (site)

Salut, je viens de remarquer quelque photo sympa ! qui me raconte quelque chose ou que mon oeil a perçu (d'un bon oeil) ^^

si ça te dis passe voir mon blog et n'hesite pas a me contacter Sourire

a+

 
 
 

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