Avant lui, je n'étais qu'à peine un grain de sable.
Sous ses yeux je me suis sentie vivante.
Je ne saurais être encore ce grain de sable immobile
je ne puis et pourtant.
Je l'aime et de son absence, je me fragilise, à peu, mes force m'abandonne,
mes envies n'ont guère d'importance.
Lorsque je fus révéler de lui, de ces sentiments profondément endormies, j'étais d'une telle vivacité qu'il m'est presque impossible de le décrire, tellement ce ne suis plus un once vie aujourd'hui.
Je s'entête dans ce combat de tous semble bien ridicule et pourtant il est et je le crois encore, l'unique moteur qui puisse me faire vivre.
Je suis fatiguée de ses absences mais je ne peux croire qu'il est qu'un mirage.
Qu'un gramme simplement de lui, je saurais que je puis encore vivre et envisager ma survie.
Les mots vous semblent exagérés mais je ne suis plus rien.
Il est mon tous et je puis l'abandonner.
Je ne puis croire qu'il est insondable, éternel que l'on chochotte ses traits.
Non, je suis peut-être folle mais il est mon espérance.
Ma douleur est mon fidèle accompagnon mais il est de lui.
Alors que puis-je si ce n'est que de l'aimer.
Commentaires
Merci mais ce n'est pas grave (maintenant !) cela fait bien longtemps ! Cette belle histoire reste un très beau souvenir et je souris en y pensant.
C'est beau.
Merci pour ton comm'. Pourqoui as-tu mis "désolé" ? pour les chats ?
Bonne soirée, douce nuit.
la couleur est dure à lire...mais comme toujours, tu écris bien..je ressens comme toi !! bisous