Claudia est d’une beauté commune aux tristes destins. Sous l’influence d’un courage inopiné, elle posta une annonce d’une innocence rare dans l’espoir d’une âme anglaise et charitable lui propose son amitié. L’espoir est parfois d’un cruel qu’elle perdu cette dernière au recoin de ce chemin hasardeux. Aussi imprévisible que soit cet esprit en peine qu’elle s’introduit dans une conversation étrangère sans en connaître les véritable codes linguistique. L’accueil fut à l’heure pour lui apporter son sourire mais ce dernier connut une existence dés plus courte. Ses écris fut ironisés jusqu’à l’ignorance qui figea sur elle la tristesse et le détresse. A l’instant où les songes ne sont plus, un inconnu vient prendre la main de l’innocence pour lui la remplir d’un renouveau de bonheur. A la fois intrigué, et curieuse, elle pose délicatement le pas sur ce terrain étranger et pourtant il ne fut point si éloigné qu’elle le supposait. Habitant sous un mon d’emprunt, « friendly », les mots devinrent familiers, leur tonalité anglaise apparut d’un français brillant. Claudia reçu un matin une aide cordial sous ses termes : C’est avec une affection de tendresse que je vous vois en grande difficulté envers les compatriotes britanniques. Ne vous en offusquez pas. Je vous offre les connaissances et ma bienveillance afin de vous connaître mieux. J’ai rarement l’occasion de me souvenir de mon séjour parisien et ce serait avec une immense joie de re-découvrir cette langue si chère à mon cœur. Tom Quintown Surpris par ce message, Claudia rendit grâce à cet inconnu. Au fil de leur correspondance, il se noua une parfaite amitié. Elle avait enfin un ami qui la comprenait et lui voué un intérêt qu’elle ne connaissait point avant. Au détour, Tom lui proposa de venir à Londres afin de lui présenter son ami que tous surnommés « mum », à cause de son caractère maternel et dans l’espoir de l’éloigner de sa solitude. Mum, qui s’était attaché à cette demoiselle, fut catégorique à ce sujet et imposa à Tom de se rendre en France et de la ramener à Londres. Ce dernier amoureux ne désobéir pas. Sous un soleil brûlant, Claudia, caroline de son vrai nom, reflétée une bonheur parfait où impossible n’eut point de refuge. Ce couple bien étrange traversé l'atlantique, une limite d’un renouveau, où Claudia ne savait pas encore que sa destinée lui réservée l’envie de vivre. Aux dernières heures du jour, La Tamise se dévoilait à leur regard, London illuminait, et agitait lui fut enfin présenté. Sous ses yeux brillants, tel un magicien, les touches de couleur apparaissent spontanément mettant en scène les acteurs de cette nuit si ordinaire et pourtant si inattendu et inédit. Au coin d’un quartier, le carrosse de cette princesse française, s’éloigne de ce théâtre, préférant le silence d’une rue de quartier où la symétrie des maisons rivalisées avec leur ressemblances. Le véhicule s’arrêtât au niveau d’une demeure de briques rouges, assombrit par le temps, une grille aux lignes noires cloisonne une courette, aboutissant sur la porte d’entrée et les fenêtres blanchâtres. Cependant, voilé par les rideaux de dentelle, une ombre semblait surveiller ou attendre son âme sœur. Tom n’eut point à craindre cette présence puisse qu’il en connaissait les attraits. Il n’eut d’ailleurs point le temps d’ouvrir sa porte qu’elle le fit à sa place s’offrant au grand jour avec un sourire. « My baby » prononça-t-elle en tombant dans ces bras. « Mum, I introduce you, Claudia, our french girl, Claudia I introduce my love » répondit-il. La décoration intérieure, un doux mariage entre l’élégance et la chaleur où l’harmonie régnait, affichant une gamme pâle, se jouant avec le ton écru des boiseries. Dans cette scène théâtrale qui se jouait, Mun aurait pu être un personnage indéfinissable, un jeune premier promis aux plus prestigieuses cérémonies, qu’une sensiblerie romanesque aux sourires ensoleillés, l’éclat de ses yeux noirs, soumis au contour de sa chevelure, s’unissaient cette soirée, au ton sombre d’une robe de velours. Les traits suspendus dans cette atmosphère, se distillé dans ce court d’eau n’offrant aux étrangers le doux souvenir d’une gentillesse, et d’un envie surprenante de vivre, saupoudré par une touche d’espoir. Comme sous les yeux d’un réalisateur, Londres révéla ses secrets uniques, ses empreintes historiques, ses décors traditionnels aux retouches modernes, cette fourmilière humaine, une roue perpétuelle, registre d’une société jusqu‘aux portes nocturnes. D’un simple récit de quelques jours de vacances, et sous les écrits naquis une force qui brisa l’enveloppe originale, sculptant un désir de vivre au comble du déraisonnable. Un lien fusionnel qui s’établit entre Mum, l’âme d’une mère et Claudia en quête de tendresse maternelle, d’attention et d’écoute; Deux êtres dont leurs cœur d’enfant fut brisés, meurtries, reflétant une angoisse au travers de leurs gestes. Claudia laissait enfin transparaître les vérités de ses larmes, de simples mots aussi ordinaires mais qui traçaient ses sentiments solitaires et apeurés; une main, un sourire, une écoute et une voix suffisent pour faire naître un reflet libre de Claudia et c’est cette étrangère à elle-même qui retraversa l'atlantique. Suite de la page 1 Page 2