Au loin, le silence se fend, mais...
La nuit s'est posée sur mon âme.
Douce nuit qui m'aime avec cette foi aveugle et touchante.
Sourire aux songes qui t'étreinds au délà de cette horizon funeste.
Calme et apaisé, elle s'en lisse, et tel l'esclave qui s'aguenouille, tu la laisse t'emprisonner.
Engloutie, sans entrave, au delà de soi, se hisse sur la sureté obscure et mortelle.
Cieux couvoités, son sourire s'illumine, ses yeux se cloitrent, s'inondent, .....
douce brise qui endort la douleur soude et muette.
Avec vos soins