Ou l'analyse de mon propre moi
Hey You,
Depuis combien de temps que je vous observe de mes yeux tendre comme aurait le faire votre propre mère qi toutefois cette dernière avec un minimum d'intérêt pour elle-même ; Que dois je vous conjurer cette fois-ci ?
Quelle ironie va votre cœur si vacillant ! Je n'ose moi-même vous prédire ce que ce dernier va exploser dans les cendres sentimentales. Il est ainsi lorsque les sentiments sont sans cesse mis en fusion mais je dois dire qu'il m'est d'autant plus impressionnant que les votre sont d'une telle violence et si imprévisible.
Oui, je sais, vous êtes comme une proie emprisonnée à ce tourbillon; mais comment vous dire pour ne pas encore froisser votre amour que vous gardez comme un trésor ? Comme vous détruire avec soin sans vous découdre de vos convictions qui vous sont si nécessaire ? Il serait si simple de vous dire que votre amour est futil et inutile cependant je vous connait ainsi avec soins je vous direz que ce dernier ne l'ais peut-être pas aussi inutile que ça mais je ne cesse moi-même, de vous comparer comme une entité désarticulée.... Vous allez m'exploser à la figure votre propre identité avec cette force ayant seul miroir acceptable soit cette amour ! Et que diable je ne serais point vous répondre ! Si ce n'est qu'avec force vous pourriez acquérir une identité égocentrique......
Je ne sais si je dois vous dire avec pointillé ses sentiments, puisque vous semblez assez déterminer à vous s'enfoncer vers ce qui vous rend vivant. Quoique je dise, quoique je vous conseille, votre aveuglement vous étouffe mais je n'avais de cesse de poursuivre cette quête. Il m'est vraiment désagréable de constater que vous les suivez avec cette écart mais avec acharnement...
Hey, you,
Vous vous souvenez que je vous ramasser sur cette plage déserte comme rejet et bien je crains que cela finisse encore de la même manière mais je dois tout de même vous admirer de croire que l'on peut encore croire en un « Dieu » alors que quasi ce même « Dieu », vous repousse et vous exploite avec quelque complice à vous détruire.
Je vous sais assez simplement serviable mais par quel diable on t'ils crus en s'offrant à cette machination satanique ?!
Je vous sais gentille mais je crains et je le ressens votre haine est un poison en progression constante et je dois bien admettre que cela m'effrayer. Vous ne m'écoutez plus depuis que vos yeux les regarde et à défaut d'être comme ces articulés en polite programmé, je vous sie assez pour ne rien entendre de me conseils.
N'oublier pas ce samedi matin et passez au delà de vous propre convictions
Je vous présente mon cadeau de saint Valentin,
emprunt avec élégance du grand oeuvre créatif Placéborienne Placebo
http://www.youtube.com/watch?v=tJ9_CNz4i0M
Lyrics et Traductions ici: http://www.youtube.com/watch?v=tJ9_CNz4i0M
(j'ai pensée à toi Yayy2)
Mon coup de coeur pour cette douceur mi réverie, mi nostalgie Indochinoise
http://www.youtube.com/watch?v=Y30UTQvSdNg
J'ai découvert comme se réveiller avec une douceur infinie
Le Lac
(Nicola Sirkis/Nicola Sirkis Françaois Matuszenski)
J'arrive au bord du lac
J'aimerais bien que tu sois là
C'est juste un endrois a moi
J'aimerais bien que tu le vois
Avant la nuit, j'irai au paradis...
Aujourd'hui le jour est arrivée....*
Où je vais tomber avec mes caramades
Je me souviens de toi même sous les mitrailles
Comme des héros...Tout le monde saute...
Tu veux me suivre au fond du lac
Tu veux me suivre alors suis moi comme héroes
Tout le monde saute...Comme un héroes. Allez saute...
Tu veux nous suivre au fond des lacs
Tu veux nous suivre, Alors suis moi...
@INDOCHINE
ps: sorry pour Youtube, il rame
Hey You,
Que dire lorsque toi-même tu réalises qu'un mot est désormais incongru et surement dérisore aujourd'hui, face aux ruine que j'essaie de re-sculpter. Oui, je sais, je repense encore à l'espoir quasi jubilatoire qui m'a envahit, déguisant ce soi-m^me solitaire, triste, silencieuse et d'un tel pessimisme hélas des reproches si cela puisse être interprétées ainsi sont d'autant de cris sombres d'amour que j'ai peux en éprouver autrefois, où le sens même de raison fut éradiquer ....Que m'importe en effet aujourd'hui, comment l'on puisse interpeller mes actes, que m'importe encore qu'ils soit si insupportable aux yeux de tous, il me fut donnée de respirer des airs d'amour, de douleur, de joie qui s'élevée du plus profond d'un coeur en flamme, un profond jamais exceller.....
Hélas, je crains que cette jubilation m'est épuisée au point que je n'arrive pas à me dépasser m^me d'un pas comme autrefois. Je manche à mi chemin entre un contre courant, et mi arrière constant. Mes pensées me mélent à d'autre et n'ont point la connexion requise pour embrasser leur propres pensées ; L'Act même m'effrayer, d'être loin de ce moi et pourtant un homologue aussi aigue alors qu'au fond les mots sont censé troublées leurs propres mots afin que l'infusion crées un sens unique ou du moins un mélange communicatif.
Hey You, ils ne comprennent même pas mon agitation amoureuse, alors pourquoi pourrait-ils comprendre les pensées encore paresseux et agacés que j'ose introduire ici et là. Je suis assez sincère, voire flagelleur pour savoir que mon savoir soit une manque de désobligeance pour ces petites lumineuses, pour ne pas être humilié ; Mais tu as raison, je suis toujours un pas en dehors de moi dut à un manque, et en retrait face à leur savoir. Peut-être You, Eux que j'aime et qui semble être le seul lien de communication que je possède, semble si fragile, si superficiel parfois !
Hey You,
Alors que je creuse encore dans leur espoir qu'ils dégagent afin de me rassurer, je t'avoue que mes peintures qu'ils m'inspirent semble aujourd'hui, si sutil face au chemin que je dois faire afin de les toucher sincèrement.
Je ris de ceux qui pourrais y voir un grain d'un avenir qui pourrait éclore dans ces venus que je peins sans cesse ; il me semble si imaginaire cet avenir d'esprit, pourtant, You, qui dénonce mes peine et l'espoir qui s'y coule, je voudrais que tu mettes une poignet étincellent qu'un improbable...
On ne peut être vivant sans l'espoir des rêves sombre d'un esprit à mi-chemin de vaincre
Hey You, mes doutes n'ont jamais atteins leur apogée quand ces instants si proche, et pourtant, la douleur étant moindre, les doutes eux, vacillent comme des vautours autour de leur futur prois. Je crains que la douleur soit le meilleur sentiments que j'ai pour ressentir l'amour ; dénuder de cette face, je suis neutre comme modeler à ce monde dans le quel, ils vivent Eux.
Quel indigestion je puisse être dans ce monde ! Il m'est dut d'une vie quasi en dehors des autres mais surtout à une haine et méfiance face à autres qui ont hélas jamais pris le temps d'écouter mes silence : je suis encore ce Peeting Tom de cette vie ! Ce voyage auquel, je n'arrive toujours pas à comprendre les codes me laisse un sentiments de délation de soi,d'une détestation aussi ... et bien d'autre que les noms sont encore à définir. Je suis un zen passif, admiratif et frustrée... Le sang coule encore
Avec vos soins