Ou l'analyse de mon propre moi
Hey You,
Depuis combien de temps que je vous observe de mes yeux tendre comme aurait le faire votre propre mère qi toutefois cette dernière avec un minimum d'intérêt pour elle-même ; Que dois je vous conjurer cette fois-ci ?
Quelle ironie va votre cœur si vacillant ! Je n'ose moi-même vous prédire ce que ce dernier va exploser dans les cendres sentimentales. Il est ainsi lorsque les sentiments sont sans cesse mis en fusion mais je dois dire qu'il m'est d'autant plus impressionnant que les votre sont d'une telle violence et si imprévisible.
Oui, je sais, vous êtes comme une proie emprisonnée à ce tourbillon; mais comment vous dire pour ne pas encore froisser votre amour que vous gardez comme un trésor ? Comme vous détruire avec soin sans vous découdre de vos convictions qui vous sont si nécessaire ? Il serait si simple de vous dire que votre amour est futil et inutile cependant je vous connait ainsi avec soins je vous direz que ce dernier ne l'ais peut-être pas aussi inutile que ça mais je ne cesse moi-même, de vous comparer comme une entité désarticulée.... Vous allez m'exploser à la figure votre propre identité avec cette force ayant seul miroir acceptable soit cette amour ! Et que diable je ne serais point vous répondre ! Si ce n'est qu'avec force vous pourriez acquérir une identité égocentrique......
Je ne sais si je dois vous dire avec pointillé ses sentiments, puisque vous semblez assez déterminer à vous s'enfoncer vers ce qui vous rend vivant. Quoique je dise, quoique je vous conseille, votre aveuglement vous étouffe mais je n'avais de cesse de poursuivre cette quête. Il m'est vraiment désagréable de constater que vous les suivez avec cette écart mais avec acharnement...
Hey, you,
Vous vous souvenez que je vous ramasser sur cette plage déserte comme rejet et bien je crains que cela finisse encore de la même manière mais je dois tout de même vous admirer de croire que l'on peut encore croire en un « Dieu » alors que quasi ce même « Dieu », vous repousse et vous exploite avec quelque complice à vous détruire.
Je vous sais assez simplement serviable mais par quel diable on t'ils crus en s'offrant à cette machination satanique ?!
Je vous sais gentille mais je crains et je le ressens votre haine est un poison en progression constante et je dois bien admettre que cela m'effrayer. Vous ne m'écoutez plus depuis que vos yeux les regarde et à défaut d'être comme ces articulés en polite programmé, je vous sie assez pour ne rien entendre de me conseils.
N'oublier pas ce samedi matin et passez au delà de vous propre convictions