Je suis une parcelle cellulaires qui ne vie pas, pas n'a guère d'envie, qui survie dans son quasi-translucidité. Mon corps n'est à l'aise nulle part, il n'est d'ailleurs nulle part à sa place.
Je suis la victime de myself ou celui de intra-monde?
Je vie dans la contradiction de front « moi » et les « autres »
J'habite au mauvais niveau de mon existence et je ne sais pas comment prendre l'ascenseur et mettre les clefs dans la serrure. Depuis peu, mon esprit est transpercer par des envies d'ailleurs, de non retour éternelle.
Gilles de Watteau
Je suis l'étrangère de moi-même, en fait je suis celle qui se fraude aux autres, qui se couvre de son silence, qui s'évapore et ceci avec une tel aisance que je suis le fantôme que personne connaît!
Je suis celle qui se hait cordialement et avec force, celle qui se saigne pour exterminer sa douleur.
Je suis celui qui voudrait être lui! Je suis celui qui voudrait aimer ce dont les contradictions lui interdiraient, je suis celui qui existe blottit au fond de moi.
Mon no existence m'oblige de ce fait à peindre que la douleur, mort, l'amour, la tristesse, et autres joyeuseries...
Je ne suis heureuse que lorsque je parlent de mes artistes bien que là encore, leur no présence, me soit une souffrance.
En règle général, je suis translucide, mais depuis un temps j'ai épousé une passion qui me dévore, et me transforme en coup de tonneur, et ces derniers sont tendances à laisser des traces.
Ma musique est la chose qui sort de ma torpeur, qui me fait vivre rééllement, m'inspire des envies, Elle est le seule chose qui est goût à mes yeux.
Commentaires
bien dit, j'en déduit..hihi...enfin non pas hihi...que tu es une femme blessée, tu me fais penser à une artiste que j'avais connue vénézuelienne qui après un viol, peignait que des toiles rouges et noires montrant en évidence des sexes. C'était trés provocateur et "shoking" pour ceux qui ne la connaissait pas.