Et toi,
Regardez vous encore le reflet qui soupirait hier ?
Y trouvez vous encore les douceur de votre cœur ?
Y voyez vous encore les consolation d’hier ?
Vous trouvez vous encore dans leurs bras à l’abri ?
Daignez vous encore vous étendre comme hier ?
Et toi, Mon sourire,
Vous y trouvez vous encore ?
Non j’y vois !
Qu’es-t-il devenu Mon sourire qui eu de cesse d’apaiser, d’accomplir par sa seule présence ?
N’y tracé plus votre sourire d’hypocrite, n’y imaginez plus votre devenir ? Cette dernière vont étant était votre condamnation.
Et toi,
Ecoute moi ! Puisse que maintenant, c’est tout ce qui te reste à faire !
Ecoute mon garçon. Ne creuse plus, n’enfonce plus tes ongles dans l’espoir, ils t’ont trahi. Pauvre toi, irrésistible amoureux. Que puisse te dire, Toi, qui n’avait guère qu’eux ! Comme ravalé cette colère quand Toi, tu t’encrasse, t’engraisse de ta douleur. Creuse encore puisse il te plait de leur conjurer à leur trahison. Pille encore, transperce, épluche, découpe à la hache…. Attention, une giclée de plus ! AS tu trouvez ? Non bien sûr que non. Pauvre enfant. Quand ils prennent, la place est déserte !
Approche toi, et Ecoute bien encore, Tu n’as jamais connut de douleur plus intense que cela ! pas plus tu n’as connu d’adversaires plus pervers qu’eux.
Tu ne peut trouvez trace de ton sourire puisse ils te l’ont pris, dérobés, subtilisés, Il n’est plus dans ton cœur.
Parlons en de ton cœur remplit de leur bave répugnante de leur mensonge et c’est peu dire !
Regarde encore !
Et toi, mon sourire,
Dissez vous : vous ne pouvez vous regardez ? Alors parlez !
Vous ne la connaissez pas cette douleur là. Comme vous pouvez leur pardonner encore ! Avez-vous encore un peu sang dans votre pauvre cœur pour cela ! N’y touchez plus vous dis-je. Cela du à ce manque d’amour, à ce vide qu’il l’a laisse après eux. Je sais : je vous observais cette amour vous rendait heureux, tellement heureuse, sans précèdent, et belle tellement belle, une remarquable beauté qui n’attendait plus qu’une fin pour naître. Et je sais, en partant, ils sont tué, piétinés, écrasés, déchirés, cette vie, votre vie. Je sais !
Pleurez, encore, encore s’éteignant, les flots n’étant plus contrôlé, vos pleures sont votre seule remède !
Et toi, l’ombre,
Tu peux encore les entendre ?
Ont-ils la même voix, merveille complainte qu’ils scandaient autrefois ?
Ont-ils toujours cette même intensité qu’y scier autant ?
Ressentez vous encore coups incandescents, cette même effervescent ?
Ressentez vous encore votre pouls sont démentir de vous-même ?
Qu’importe ! Ne creusez plus en aveugle vous dis-je ! cette douleur ne rend jamais le bonheur qu’elle vous prend. N’avez pas encore compris qu’ils vous ont trahi ?
Comment, je sais ! Vous les entendez encore, votre cœur ne laisse plus transpercer votre bonheur, mais leur voix elle vous émerveille encore. Pauvre enfant que vous faite…
Et toi, mon souffle,
Mon dernier souffle, tu n’aurais jamais cru qu’ils puissent te briser ainsi ! qui aurait cru qu’ils puisse détruire un enfant qui voulait seule vivre !
Respire encore profite encore
Cette douleur là, coupe le souffle au plus jeune et la perce pour les autres
Je t’ais respiré pour y respirer leur propre souffle de vie, leur espérance, leur joie, leur gracieuses, leur merveilles, leur veloutés qui vous a recouvert de son manteau, qui vous soutenez. Je vous y ai vu dans votre superbe auprès de vous, eux.
Respirez encore les restes, les miettes de leur amour, n’y vous tromper pas, il vous appartenait. Cet élixir de sorcière vous bougonnez qu’une soyeuse façon, et nulle ne me détrompera.
Et toi
S’inspirez plus qu’il ne faut ! La douleur se nourrit de vos souvenirs. L’audace de vos recherches vous ayant conduit dans l’impasse, vous vous êtes confiné à présent dans votre mémoire. Croyez vous que ce soit plus sage ?
Votre sourire ne serait pas trop jaunit, altéré ? Comment pouvez vous accepté de n’avoir qu’un sourire rapiécé de la sorte ? Quelle ironie !
Vous dit ? Non vos lèvres ne s’animent encore mais dejà les mots se sont raillés, engloutis, ravalés.
Votre sourire, ce trait invisible, ne peut plus témoigné, ne peut plus crié, il est ce que vous êtes, déversé à même le sol, étendu, déplié de tout son long, étiré, secoué par quelque relent de douleur…
Vous ne m’entendez plus, s’affaissement du comprimé, pourtant qu’un mot, qu’un doigté peut refaire naître au étrange. Une seconde suffit pour enflammer, ce qui s’éteint avec la lenteur de l’éternité !
Vous ne croyez plus ? Vous pensez peut-être ?
Que reste-t-il encore aux amours perdus, délaissés, entrelacé par les crocs du manque ?
Existe-t-il un cimetière pour les recueillir ?
Leur âme punit-t-il les autres ? Les hante-t-il d’eux-même ? Raille-t-il les amours à avenir ?
Où existe-il le marchant du sourire ?
Et Toi,
Sortez les haillons de votre amour, étalez votre douleur, humilliez vous devant leurs yeux !
Que vous importe mes reproches, vous vont êtes habituée à n'être d'un point matraqué de doutes, de rejets, de manques, qu'il me semble que l'éloignement d'eux qu'il conviendrez à tous, vous serez d'autant douleur que je vous observe, avec tous les égards qu'il convienne.
Et Toi,
Creuse encore au fond d'un sourire, trempe tes mains dans ce sang, goûte le, déguiste le mais ne désigne point l'innocence de toi-même si ce sang n'est qu'un imposture
Commentaires
○
moi aussi je suis mystifiée
joli texte!