Que peut-on encore me faire si ce n'est l'invisibilité de soi ?
Qui peut simplement tuer la non existante de soi ?
Que peut-on , si ce n'est mettre en relief un peu de ce qui n'est qu'une ébauche de soi, brisé, piétiné...?
Ravalez votre arrogance, elle ne peut soutenir la non existence !
Je n'ai plus la force de co-exister dans cette anti-chambre, devenue une prison, les miroirs ont finis par défigurer les reliefs de soi. Comme leurs hypocrisies m'insultent, ils sont aussi malentendant, que je suis invisible et morte .
Pourtant, parfois, des complaintes m'étonnent non qu'elles soient sans réponse, mais parfois, il me semble qu'elle se nourrissent d'un soi enterré, d'un soi de moi... Il me paraît encore plus surprenant qu'ils m'oppressent, me met en relief...Quelle comble pour ce soi de moi invisible, oublié, germé et déraciné ! Il ose parfois se mettre de lui-même en relief comme se défier lui-même... Il ose l'impensable... Hélas, l'invisible de soi, s'oubliant de lui-même, ne peut se soutenir de lui-même et hélas, « oser », n'est au fond qu'une prise de frustration, presque superficielle. Mais que peut lui porte quelle soit si liquide ou pâteuse, il ose dan un vide abstrait. Quelle étourdie !
Comment peut-on de soi, s'auto-détruire sans même le savoir? Comme peut-on soutenir cette culpabilité de soi lorsqu'il ne devait hélas même pas vivre ? Comme peut-il espérer dans cette oublie se soutenir ?
Quelle ironie ! Les apparences sont les miroirs de soi-quasi-ridicule, Ils sont de soi, une parfaite patologie anti-soi de moi, mais elles sont d'une tel insulte d'une tel arrogance que je crains que vous vous êtes fourvoyés !
De vos soi de vous, ils me paraissent ironiques tellement vos yeux n'ont rien vues !
Rien et encore de trop, puisse que je ne devais pas exister. Et pourtant, une germination a eu lieu mais qui de ce soi est le criminel ? ........
Ranger votre arrogance, elle se perd...
Tant elle ne comprend même pas
Que peut-on attendre encore de ce soi si ce n'est la mort physique ?
Leurs indifférences m'insulte encore, et pourtant la non existence me dévêtit !
La non existence à soi qu'elle se soutient lorsqu'elle se sent soutenue. Hélas, dans le creux d'un vide il me paraît assez étrange que nul ne peut s'êtes à se point défigurer de cette constatation lorsque cette dernière est fait par ce « non existence » que vous sembliez connaître !
Que peut-on encore m'obliger dans cette anti-chambre ? Si ce n'est la détruire !
Hélas, elle ne peut se détruire que par des reliefs qui se soutiennent, et c'est dernières ne le peuvent par qu'au fond d'un creux vide, il n'y en a jamais eu !
Un jour il me faudra me résoudre... Mais à quoi beau leurs satisfaire leurs égos puisse que ils ne m'aiment pas!
Hélas, Dieu dois-je t'accumuler de cette coupable naissance, puisse que les génitrices sont hélas, malentendants ?
Parce que moi, je n'ai pas ou plus existence ! La non existence s'efface lorsque cette dernière est vue par d'autre ! Hélas....
Commentaires
Encore un de tes "cris" .. si poignants, courage à toi dans cette vie, gros bisous
Coucou
ton article me touche et m'émeut... notre existence c'est vrai on a rien demandé et c'est certes très difficile de vivre dans un monde hypocrite...
mais y a de bon coté et ils effacent les mauvais...
à toi de passer la bonne porte et d'arriver dans la bonne pièce, celle qui te rendra heureuse, faut y croirer et ça vient petit à petit
bisous
tu as une existence, tous ces mots raisonnent comme un cri qui ne demande qu'à vivre.
Ta peinture aussi est une explosion de rouge, d'élan de vie qui me touche et touche pas mal d'autres personnes aussi. vie pour toi, rien que pour toi.
je t'embrasse fort
bé