Malgré ce silence transfigurait des mœurs libertaires de Roses qui parfois lui traversé le cœur, il eut cette fois ci un réveil bénédictin. Comme si il savait mieux que quiconque les intimes délivrances de Kate. Il en était convaincu. Mille fois, il eut cette étrangers sensation qui régis les hommes dans d'ultime instant où même si ce mariage corporel sera une blessure ouverte, ils leurs était quasi impossible de s'y dérober. Et malgré cette indicible tristesse qui l'enveloppait au détour d'une rupture, son visage avait la plénitude d'un homme amoureux.
« Roses my tears... ». Entendit-il.
« Déjà là comme à ton habitude, d'ailleurs» prononça-t-il en ouvrant sa triste demeur sous les combles à cette voie si familière
« Et comme d'habitude .... mais tu sourires ! » s'esclaffait-il avec surprise « Roses..... Ne me dit pas que tu est déjà amoureux! Tu te surpasses!... Raconte »
Résonance de l'exactitude, Erin était le frère de sang de ces death streets qu'ils connaissaient tous deux pour y avoir laisser leurs adolescences. Semblable aux fantômes qui les hantent, ils sont indivisibles, perpétuellement en quête de l'éternel.
«No. Je l'aimais si cela ne se voyait pas » s'écria-t-il droitement, soudainement vexé « Comme tu dois le savoir la réputation est encore de mise. Un merveilleux malentendu irradié par mes ex trop heureux de pouvoir se venger en cette occasion, Bref je n'ai pu le convaincre. Il m'a laissé rien que leurs sourires amères Ne me regarde pas avec ses yeux, j'ai était assez sincère et plus qu'un peu . Au fait «Other of this night », m'ai revenu son visage d'ange, si lisse cette éternelle image qu'il prenait à chaque embarquement. Dit moi que puis je y faire si mes moindres rêves sont à « lui »! Avec le temps les moindres photos jaunies me reviennent avec une telle intensité! Autant de dire que le nom de « this other » s'est introduit par mes gardes et je te laisse deviner.... N'en parlons plus »
« Soit »
« Toi qui sait tout, tu n'est pas aller chez nous ses derniers jours?
« Apparemment non... But je peux savoir ce que je devrais savoir » souffrait-il par l'attente
Lorsque Roses revient à coin cuisine, il se détacha de l'une de ses mugs où un sang brunâtre se délayait dans une clairvoyance aqueuse et vient s'asseoir auprès d'Erin.
« Erin Mais ou étais tu? Comment ne peux tu pas être au courant du retour d'une certaine personne »
« Une certaine personne? Pourrais tu au moins, me dire pour qui cette personne est-elle revenu? Parce que très franchement des retours chez nous, il y en a tout les jours »
« exacte mais là tu le connais et de très près! »
« Roses tu sais que je déteste ça.... Quand finira tu des enfantillages? » s'esclaffa-t-il d'un air triomphant.
« Mes enfantillages t'ont plus qu'aider à te soutenir et en milles occasions! »
« Roses! »
« Soit Kate O'Neal est revenue de Paris et décidée a rester Et à l'heure ou je te révèle ce fait, ces reines s'apprivoisent sûrement. Que penses tu de cette nouvelle? » Roses attentait aussi joyeux qu'il pouvait, le regard fixait sur celui de frère à la fois pensif et étonné, une réaction.
« Kate... Attend.... La fille du bain qui s'est évaporée parce qu'elle se sentait amoureuse. Du moins c'est que tout le monde a cru. Elle a enfin donné une autre explication?
« C'est bien elle et pour te répondre devine mes sous entendus. Elles se découvrent sous d'autres inspirations » Explosé de bonheur, il s'abattit dans les bras de son ami. « Tu comprends ou il faut je te décrire ce que je pense »
« Non merci » Lorsqu'Erin se fut dégagé, il commença à le questionner » Roses tu as assisté aux retrouvailles? »
« Disons après leur Grandes retrouvailles. Juste à temps pour soutenir Little Boy qui s'était évanouie d'ailleurs mais t'inquiète. It's Okay » Roses frémissait à l'idée qu'il pourrait retrouver This Little Boy. Sa logique était qu'un simplicité redoutable: puisque que clo recevait enfin tout l'amour et toute la tendresse qu'elle désirait, alors elle serait plus sûr d'elle et se réaffirmer en cet être flamboyant qu'il appréciait d'autant plus qu'il lui ressemblait. Il faut raisonnablement lui pardonner cette inspiration un peu égoïste mais il faut aussi ce l'avouer le retour d'un Little Boy serait la preuve d'une guérison.
« Et Mum? »
« Tu te doute bien que sa méfiance s'est fait juteuse mais je crains que nos butterflies n'ayant plus leurs ailes enduient comme autrefois, Mum n'aura rien à redire à ce sujet. J'ai vu les yeux déterminés de Kay, lorsqu'elle est rentrée chez Sam, cette nuit. Elle n'avait rien de quelqu'un qui semble abandonner et comme plus aucun mur ne la retient... » Roses s'était entre temps servit une autre tasse de thé et regardait amusé ce regard pensif que lui lançait son ami. Ce qui aiguisa sa curiosité: « Erin tu m'expliques ou je doit trouver à mon tour? »
Comment vous décrire Erin, adolescent Britannique, protestant et homosexuel. Je vous laisse juge des difficultés qu'il a vécu pour s'affranchir des modalités pour être lui-même. A seize ans, ils furent le crime absolu lorsqu'on est amoureux et la brillance de la honte se lisant sur les visages de ses parents, fit exploser la conscience d'Erin.
Là liberté se cache parfois dans l'étroitesse d'un cube transfiguré par les fuseaux lumineux, embrumé par des volutes de fumée où se joue l'amalgame des corps. Parmi ces lieux de perditions londoniens, le très nommé « De nature ambiguë » fut depuis sa création un lieu de connexions des plus diverses. Si l'un entre vous n'avait point compris, Roses était un licencieux monétaire, donc s'émouvait sans succomber après un dépôt de quelques billets. Roses était cette nuit, un fantôme de l'oublie au service commandé d'autrui, lorsqu'il fut accosté par cet écorché enfantin, d'au moins 17 ans, découplé de this first Love, qui le transfigurait de son sourire. Erin lui témoignait une telle insistance, une telle virtuosité esprit qu'il fit interrompre le papillonnage de sa cible. Aux douceurs des alcoves aux préludes fraternelles, ces deux molécules tracèrent une co-existence éternelle.
Erin se différenciait de Roses, sur les choix de ses amants qu'il souhaitait fidèles, sincères, et avec une pointe d'envie suffisante pour délimiter un us résolu.
« It's Jason » finit-il par dire, configurait dans des teints sombres et profondes. « Je ne sais pas comment te dire ce que je resents. C'est très étrange. Je le trouve distant. Il a tendance a esquiver mes remarques. » Déchirant ce silence, Jason saisi sa tasse, en but quelques gorgeait puis il fixa Roses d'un air interrogateur comme si ce dernier pouvait connaître la vérité. « Roses crois tu qu'il me cache quelques chose? »
« A quoi penses tu? »
« Je ne sais pas Roses » Jason lui soupçonnait une liaison et souhaitait que Roses le détourne de cette hypothèse. Lorsque l'on pense que ses deux amoureux de la vie font vie commune depuis plus de dix ans ensemble, il lui semblerait incongru qu'il puisse s'ennuyait au point de s'envoler ailleurs. Des habitués du « De Nature Ambigue » qui n'aurait point écorchés leur relations en mouvement aléatoires avec d'autres et quasiment signe d'un honorifique amour.
« A ma connaissance, Jason, n'a surement pas dérivé ailleurs. Tu sais fort bien que tout ce sait. Et que l'on vit avec une multitude de ragots. Si tu penses qu'il te tompe alors c'est pas chez vous assurément. Jason fait plaisir essait de trouver une autre raison. »
« Tu penses à quoi alors? Tu me connais j'ai envisagé tout. J'ai fouillé les tiroirs à la recherche de lettres, ou bulletin de santé et rien je n'ai rien trouvé qui puisse me dire pourquoi il se referme ainsi » Après avoir épongé ses larmes, d'un air d'un veuf au point de non retour, Jason attendait les mots les plus intenses qui le rassurerait.
« Il y a toute sorte de raisons pour que quelqu'un se referme sur lui-même. Jason, il est indéniable que Jerry t'aime. »
Jerry est une anti-thèse. Il était une molécule translucide, n'ayant point de limite à ce soi dévoilé et accepté, il lui était dotant moins impératif de se métamorphoser la nuit. Ils s'étaient rencontrés au « De Nature Ambigue » aussi naturellement. Non je vous racontez pas une folle rencontre susceptible de vous interloquer! Les yeux de Jerry s'était noyée dans le contenu brunâtre et aqueuse de cet inconnu qui était venu étanché sa soif. La gène en premier, fit tournoyer Jerry et ce fut la curiosité ensuite qui lui fit le questionné et ce fut enfin de l'empathie pour lui qui lui proposa un autre verre. Les mots se lièrent l'un aux autres, les intelligences se rencontrèrent cette nuit là. Et de leur jeunesse à peine consumés, ils tentèrent d'être deux et d'être l'exemple qui trompe la réputation de ces écorchés ivres de liberté.
« Tu connais Jerry ce n'est pas un hetero totalement pure en apparence et totalement connard derrière. » Jason le regarde acquiescent « Jerry est un homme bien et j'en dirais pas tant de certains hétéro que j'ai rencontré dernièrement! Franchement ils sont d'un ennuyeux et d'une stupidité des plus extrêmes. Jason, je crois que tu t'inquiètes pour rien. Tu devrais avoir confiance en Jerry »
« Roses, mais j'ai confiance en lui! Mais je le trouve trop silencieux. Il n'a jamais été ainsi auparavant. Je t'assure »
« Jason! T'a fini de t'inquiéter. Parle lui et tu verras qu'il te trouvera une raison des plus stupide. Et je te parie qu'on en rira ensemble »
Comme vous dire à vous qui les observez sous ma plumes? Imaginez la perfection divine! Je sais ce que vous allez pensée, ma plumes se veut biblique pour purifier l'indécence de ces écorchés. Je vous répondrais qu'il n'y a pas d'indécence lorsqu'on exprime ses propres frontières. N'ayez vous jamais réprimés ces lignes de conduite qui obstrues l'homme? Certes elles vous rassurent et elles sont sans riques mais elles sont d'un ennuies affligeants! Je ne saurais vous influencer tant que vous n'êtes que juges: Vous n'êtes que le Symbolisme du purgatif.
Suite page 11
Commentaires
incroyable écriture, clignotante et fugitive, un lien solide entre deux mondes
tu es douée en écriture, gros bisous thek
Mille bisouxx pour toi, ma Thek.
ta visite m'a fait plaisir, contente que tu continue à créer, peinture, texte.
A bientôt pour la suite
Bon dimanche
bé
me revoilà reposée, j'ai pris le temps pour lire, merci pour cet extrait m^me si c'est pas facile de tout comprendre quand on a qu'un morceau de l'histoire.
biz
bé
ce soir je suis très fatiguées, très longue journée u boulot, mais je te souhaite quand même un bon week-end et je reviens demain relire ce texte
Biz
bé