Auteur : Thek
Date de création : 26-04-2007
Garçons de cristal by Bai Xianyong
Là je me sens comme dépourvue de moi-même.
J'ai débarquée à Taiwan par l'intermédiaire de ce livre.
J'y ai découvert ce que l'auteur appelle les "Garçons de Cristal", ces jeune adolescents homosexuels rejetés de leurs familles, se retrouvent seul à errer jusqu'au "royaume secret" au jardin public et qui s'offre corporellement pour se nourrir.
Alors J'ai rencontrée, Aquig, le souriceau, wu nin, Petit Jade et axiong tous maltraités d'être eux-même , se verrons recueillis par yang jinhai, surnommé l'instructeur, et protégé par monsieur Fu, ex militaire.
Entre malheur, violence, pauvreté, interdiction, il faut rendre hommage à la complicité et l'entraide de ces Garçons de cristal.
Au fur et à mesure que je lisais , j'ai voulu en connaître la fin, un fin heureux pour certains et pour non, comme si l'auteur se voulait rempli d'espoir et un pointe de réalisme.
En écrivant je me rappelle de ce reportage dont Emmanuelle Béart avait réalisée sur ces jeune enfants en Thaïlande qui était obliger de s'offrir et qui était je dois le dire assez touchant au point que j'ai des images en tête. Un association se battre pour les sortie de ce devenir des plus lugubre.
Si un réalisateur pouvait nous retranscrit, ces "Garçons de Cristal" sur grand écran, il me semble que ce serait assez merveilleux et sûrement d'utilité publique, si je puis le dire.
Je crois que j'ai horriblement retranscrit ce livre mais bon avec le temps et un peu d'entraînements....
J'emprunte ce poème tiré de ce livre pour mes propres pensée.
Tes yeux qui scintillent
M'ont brûlé le coeur
Tes yeux qui scintillent
Consument mon âme de douleur
Je lève les deux mains
Offrande à mon amour en cendres
Le ciel est dévasté
La terre désolée
Les montages renversées
Les mers déversées
Et pourtant
Mon amour demeure
Ne sais pourquoi
N'en finit pas de brûler
Lentement ma peinture, je peux l'appeler ainsi, se TERMINE; J'espère vous la faire partager bientôt si mon blanc ne finit pas trop tôt. Je devais faire des fraits aujourd'hui et curieusement, la seul couleur qui manquait été le blanc. La dernière fois, c'était le rouge.... Une malédiction s'est abattu sur moi.
Ce dimanche si, ma soeur revient et j'espère que la sérénité régnera. Traduction, ne pas pleurais, et ne surtout pas pensée, signe de malheur!
Commentaires
oui ca a l'air intéressant en tout cas tu nous donnes envie de le lire, bon WE ma thek..
il a l air bien ce livre en plus j aime tout ce qui a rapport avec l asie
on attend avec impatience ta peinture
je te souhaite un tres bon week end bizou
bonjour, tu as bien transmis ta vision du livre, cela me donne envie de le lire.
je suis impatiente de voir ta peinture, bon dimanche, @+
Bé
Gros bisous et surtout bon week-end.
La semaine prochaine j’aurai « enfin » le temps de te lire !!
A tout bientôt ! Miss Stone
C'est vrai que ce livre à l'air des plus intéressant et dès que possible je le lirai également.
Ce qui est vrai aussi, c'est que l'intolérance vis à vis de l'homosexualité entraine souvent de sombres destins.
A noter que l'hermaphrodisme et la transexualité sont dans le même cas si ce n'est pire, mais je me trompe peut être...
L'intolérance reste l'un des pires fléaux de ce monde car il est cause de nombreux conflits qu'ils soient familiaux ou autres.
Ce qui est permet de garder l'espoir, c'est de savoir que nous sommes tous plus ou moins maitre de nos destins et que nous avons donc tous une chance de voir nos destins s'embellir... un jour... peut être!
bisou
lyz
Bonjour, thek, le livre que tu présente à l'air bien interréssant. Je vais essayer de le trouver à médiathèque. Je lis "L'éloge de la fuite " de Henri Laborit un très bon livre qui remets en cause la société entière, dangereux pour nos gouvernants !!!