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zao wiou-ki le peintre qui regarde autrement

"Peindre le visible et l'invisible"

zao wou-ki 

Entrée dans l'imaginaire ou non à mi chemin entre la Chine et la France

zao peint emotion pure, non transformé, non institué en en technique

"Quand je travaille, j'éprouve du plaisir, c'est déjà beaucoup...Que demander d'autre? Je pein d'abord pour me faire plaisir, ensuite pour tenter d'exprimer tout ce que je n'ai pas encore exprimé. Exprimer toujours la même petite chose, raconter toujours la même la même petite histoire, mais dans la peinture.Je ne raconte avec des image, je raconte ce que je sens, ce que je veux exprimer dans l'espace. Je parle aussi, beaucoup: de souffle. La peinture, pour moiest une respiration. S'il n'y a pas d'air, on ne peut pas respirer. J'ai tellement besoinde la peinture"

Biographie simpliste pour raconter la vie d'un homme qui a vécu 100 milles vie entre la France et la Chine

Et si la Chine n'offre que des désaccord en ce moment, Mr zao wou ki, lui nous donne l'accord de tout ce qui exister

Zao Wou-ki (1921- ), peintre français d’origine chinoise dont la production offre une synthèse entre les traditions picturales extrême-orientales et la peinture abstraite occidentale.

 

 

Né à Pékin, fils d’un banquier, Zao Wou-Ki entre dès l’âge de quatorze ans à l’académie des Beaux-Arts de Hangzhou, où il apprend la peinture traditionnelle chinoise avant d’être nommé professeur en 1941. Cette même année, il présente sa première exposition, qui témoigne clairement de son intérêt pour Matisse et la période bleue de Picasso. En 1948, l’artiste s’installe à Paris où il apprend la gravure et la lithographie ; ses premières créations inspirent une série de poèmes à Henri Michaux. À partir de 1950, la découverte de la peinture de Klee marque un tournant décisif dans sa carrière (Piazza, 1951, huile sur toile, Musée national d’Art moderne, Paris).

 

En 1953, Zao Wou-Ki abandonne l’art figuratif pour se tourner vers l’abstraction. Ses toiles évoquent des sortes de « paysages », espaces sans limites servis par des plages de couleurs à l’éclat profond. L’artiste se livre à un travail de grattage dans certaines zones, modèle des masses aux accents heurtés, ou encore trace des lignes violemment dynamiques. Son exceptionnelle maîtrise des nuances colorées contribue à la profonde intensité psychologique qui se dégage de son art : celles-ci évoquent tout à la fois le monde du chaos et du rêve, le néant et la matière. Parmi ses principales créations, on peut citer En mémoire de May (1972, huile sur toile, musée national d’Art moderne, Paris). Au cours de sa carrière, Zao Wou-Ki a également réalisé des illustrations pour des ouvrages de Rimbaud, de René Char et d’André Malraux.

 

 "Je n'ai arrété à peindre une fois dans ma vie quand ma femme May est morte. Micheau m'a alors acouragé à toucher à l'encre de chine. J'avais abandonné cette technique depuis 1948. L'encre de chine est un travail qui n'a rien à voir avec la peinture. Le matériel est très différent mais ce sont toujours ma main qui et ma pensée. La peinture à l'huile demande des mois, l'encre quelque heure. L'encre est immédiate, rapide.Le papier aide, conduit, la toile, non"

"Il n'y a pas de secret dans la peinture. La technique n'est pasimportante. Chaque peintre a sa thenique. La thenique suit la peinture. Elle n'est qu'une façon d'aider sa propre peinture et la développer"

"Je ne craints pas de veillir ni de mourrir car, tant que je saurai me servir d'un pinceau ou d'un tube de couleur, il ne pourra rien m'arriver"

"Pour peindre il faut assimiler l'histoire de la peinture. Je ne refuse pas la tradition, elle n'a jamais gêné la création"

"Definir sa peinture, c'est la limiter.Pourquoi donner un titre au tableau? Je ne donne plus que la date. Je suis pas un poète.Le titre limite le tableau. Je ne veux pas guider celui qui regarde"

"Je ne sais pas si ma peinture rend heureux. Lorsqu'on a fini de peindre, on pense encore à sa peinture Ca devient une obssession. Quand je ne suis plus devant ma toile, je ne peux oublier ma toile. La toile ne me laisse pas tranquille. Je ne veux ni ne peux l'oublier, sinon il ne resterait plus rien. D'ailleurs, pendant que je vous parle, j'essaie de trouver des solutions à la toile qui est là, derrière vous par terre"

Les parole de Mr zao wou ki sont tiré d'un livre que je ne peut nommer car j'ai oublier

désoler pour l'auteur de cette ouvrage qui m'a fait découvrir un monde inigmatique!

Ces oeuvre sont un voyage aux milles sentiers

 http://fr.encarta.msn.com/encyclopedia_741534703/Zao_Wou-ki.html