Lettre naufragé sur ce coté de la mer!
A vous ceux qui n'ont ni vue et touché sur mon coeur de café,
je ne peux vous haïr, ni vous détesté, ni même vous oublié,
Vous seriez un monstre égoïsmes que je ne seriez vous renier,
Je vous avoue êtes dans le dénie total de vous.
A vous qui de si loin, vous semble entendre point mon coeur,
Vous qui ne croyant qu'en votre identités personnelles,
Je vous l'avoue je ne puis vous oublier,
Vous dépeindre en fantôme de ma vie,
J'ai longtemps attendu ce choc, que dis-je cette électrochoc,
Il m'est enfin déposé sous forme des plus singulières,
Qu'importe je vous aime, je suis de vous,
De vos yeux perdus, essoufflés par cette brume
A vous qui semble n'entendre rien de moi,
Je vous l'avoue je suis éperdu, suffoqué de vous le crier,
De l'invoquer, de le quémander,
Comment pouvez vous rester de marbre.
Ridicule, certes, le mot est translucide,
Éventail de vous, éventail de ma joie, éventail de ma souffrance,
Multiplié de cette multitude de colériques, colorés.
Division de ma joie, divion de mon avenir
A vous qui somme de mon tout,
Horribilance* et incapacité de ma douleur
Je vous l'avoue, je suis démunie sans eux
Ce petit rien sans toi, cette constellation sans toi!
A vous qui êtes si silencieux,
Une parole, un sourire, un geste pour une rupture du déséquilibre
Miracle pour un rien par tout!
Un manque incessant de vous, d'eux
Commentaires
Rouge oui mais j'aime beaucoup !
Tu as ta personnalité et je l'apprécie comme telle.
Ton nouveau bandeau est très beau.
Merci de partager ton blog avec nous.
Bisous et bon dimanche.