« Je suis fatiguais, Kay. Je n’arriverais jamais à vivre ici sans apprendre ta langue. Ma mémoire n’y arrive pas…J’ai envisageais de repartir en France, de tout oublier, je n’ais plus la force. Chaque jour devient de plus en plus lourd sur mes épaules. Parfois, je …I can’t say, Kate, tu partageais mon bonheur mais je n’ai plus que ma souffrance à t’offrir, un combat permanent avec moi-même. Peut-être que je me trompe…Mum a toujours su me révélée, elle semble me connaître. Mais elle est humaine et elle aussi peut se tromper. Je t’en pris Kate, aime une personne qui puisse t’offrir ce dont l’amour puisse apporter »
« My love, Je ne sais comment te dire que je ne serais pleinement heureuse qu'après de toi. Repartir en France mais où ? Tu n’as jamais été heureuse. My clo, la seule chose que je mérite c’est être amoureuse d’une personne qui aurait les mêmes sentiments et saurais me les offrir. Dis-moi pourquoi cette bougie si pour toi, tes sentiments seraient …imaginaient ? Je ne peux parler pour toi. Mum, tu le diras mieux que moi. Mais je sais que ton cœur ne se trompe pas. Les doutes sont les pires sensations. Dieu sait qu’elles m’ont renfermaient. Je pense que tu n’ais pas… pour une certaines raisons….Dis-moi il n’y a-t-il pas une définition au bonheur ? Pourquoi faudrait-il obéir à des conceptes ? Il n’y a aucune règle, et puis autres, ils pensent ce qu’ils veulent. J’ai trop longtemps écouté leurs remarques. Qu’importe ce que tes doutes puissent te faire entrevoir. Tu as besoin de moi comme j’ai besoin de toi. J’aimerais que tu le comprennes. »
Kate l’avait pris dans ses bras cette être si fragile, un spectre ravagé. Sa Claudia, l’être de gaîté s’était effacé, n’offrant qu’une gamme de couleurs sombres. La souffrance s’entremêlait et s’assemblait à la sienne. Kate pensait et avec raison que son amour préférera se briser pour que Butterfly puisse être libre. Claudia se réservait à peine un grain de bonheur, espérant que ses souvenirs l’emporteraient vers une éternité sereine. L’amour ne pouvait et ne serait dans l’impossibilité de soulager ses images qui semblaient resurgir, lui inspirant de la frayeur, désignant son être comme un monstre, celui même que Sam apprivoisa. Brusquement elle se lève, sans se détournée, elle prononça ses mots :
- « Kate, je ne peux pas, personne ne peux plus rien…. »
Un testament n’aurait pu être aussi cruel : une prémonition. Sa fragilité physique lui imposait ses lois : le cœur, d’abord, ses vibratos s’accélèrent, en traînant sa respiration, les sons ne l’atteignent plus, ses mots sont déchiquetés, elle est en prise dans le tourment ; elle posait sa main sur son cœur quand ses membres l’abandonnent. Lentement, son corps vacille puis, n’ayant plus d’appuis, s’étend.
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et puis après ?....p 5