Elle n'avait que le geste de la mort qui l'habiller comme une princesse.
Elle semble sourire même et de ce visage lunaire qui s'offrait comme une offrande, se dégager la sérénité, une plénitude rarement perçut à mes yeux.
Elle semblait me dire « n'est pas peur » et pourtant, j'étais terrifié! Mes demi lunes comme elle les appelait, la regardaient silencieux, telle un monarque commandant ses armées au combat. Je n'osais la caresser ce velouté crémeux qui me ravissait tant autrefois.
De cette poupée de porcelaine qui eut tant aimée, je ne sais nullement aujourd'hui, ce qui détenait; Mes confusions se tortiller de peu, mais hélas elle n'était plus de celle qui me curiosait*.
Je me dévoila au devant d'elle comme auprès du confère au dernier jour de sa vie. De ma voix posée, je lui contais maintes et maintes anecdotes avec une vivacité qui me surprenait et quel soins lui peignait nos égares; Elongé* dans nos inerties je m'attristais même en l'encourageant de mes sourires, je ne vis point une oblique se dessiner.
Elle semblait toujours me percevoir et me dit alors « pauvre de toi! Tu ne vois toujours rien ». Oui, n'a-t-elle pas toujours raison? Je m'accorde avec ses songes et de ce souffle aromatisé que je lui connaissais, je repris alors un vain espoir de la voir.
De mes aillées sur ses demi-ombres je la perçu autrefois se dentellerait pieusement.
Elle semblais n'avoir que des geste de le mort qui s'offusquait comme un princesse consolée .
Elle est la princesse lunaire conjuguant son présent à l'imparfait.
Elle est d'eux
Ne lui décousait pas cette éternelle frénétie!
Commentaires
Superbe article.
Bisous et bonne soirée.
joli..et placebo aussi...bonne nuit !