Il y a des mots qui se déguisent,
d'autres qui s'affranchissent
et d'autre qui s'unissent sans fin
Moi, ce sont qui s'humiliassent d'eux-même
Ils sont l'art de ne s'accommoder à l'ombre
et n'ont guère d'assurance.
Quand ils s'élancent, ils tranche l'aire,
Les éclats se brisent et trébuchent ici- bas.
Ils se donnent l'air hautain,
alors qu'elles simplement silencieuses
et encore si de même eussent vrais;
On peux juste l'accuser de vivre!
Ils sont mes instruments de vie
Et sont mes prisonniers de moi.
Jetez les! Ils sont transparents à destinataires.
Qu'on les piétinent, les déchirent!
Mes feux ne crient plus,
Mes douleurs s'étouffent
Mes gestes sont déraisonnable
Pourtant Je suis tout la même la même!
Tant de volcans qui convoitent,
Qui s'entravent d'eux-même,
Une pincée, un grain,
Nous sommes toujours là!
Commentaires
Une image sans rouge...ça s'améliore ! hihi..trés beau texte, comme tjrs avec toi, j'y comprends pas grand chose, mais les mots me plaisent !! lol bisous