posté le 01-05-2010 à 20:47:02

Sheller William un homme heureux

 


Avec vos soins

 
 
 
posté le 23-04-2010 à 10:54:18

Hey You, suite...

 

Oh my God, 
certains chantent "yourte the truth not" c'est assez criant de vérité à part que je ne sais si il faut me l'imputer à moi-même ou à autres invisibles qui me tourne autour.
Autant que God il m'est assez fréquemment que mon miroir me répugne, hélas comme tout à chacun il est assez rare que l'on puisse y changer quoique ce soit. Rare sont ceux qui atteigne le nirvana intellectuelle et sensuelle, tout en ayant les yeux rivés sur lui-même.
Soit certain chante, I am libertin, I Am selfish etc..... Cependant, lorsque son égoïsme se sont les autres, autant allez jusqu'au bout de cette vision.
Comme mon miroir me le fait sentir, mon propres égoïsme et ma propre douleur qui va assez bien ensemble hélas, contrairement à d'autre elle est invisible mais surtout inguérissable.
Certain nous déclare de respect est important, mais pourquoi être respectueux lorsque ces même certains vous ont rejetés sans ce que l'on leur demande quoique ce soit.
Je confesse avec ce même respect que ma virginité mentale est écornée, Soyez content elle l'a fait que renforcer ma douleur dont je suis prisonnier
"En vérité, en vérité, je vous le dis, il y a des vérités qui ne devrait pas être dite surtout lorsque peux s'y soustraire"

 

 

"En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis dorénaveant, cette douleur pour vous, aussi misérable soit-elle"

 

Le pire c'est qu'il ne liront pas mes vrais sentiments

 


Avec vos soins

 

humanite  le 26-04-2010 à 07:18:57  #   (site)

... de qui parles tu ma belle?
bisou
lyz

aurore  le 23-04-2010 à 11:16:32  #   (site)

gros bisous puce..

 
 
posté le 22-04-2010 à 19:05:19

Johnny Clegg&Savuka Thirld World Child

 


Avec vos soins

 

aurore  le 23-04-2010 à 11:15:43  #   (site)

j'adore...

 
 
posté le 17-04-2010 à 13:59:07

Pensée du Jour....

 

"Le Véritable Amour ne conduit pas au Divorce mais à la Décades et la Mort"

 


Avec vos soins

 

Thek  le 25-04-2010 à 16:03:12  #   (site)

amère je dirais

aurore  le 23-04-2010 à 11:14:00  #   (site)

heu..pas toujours...heureusement.. tu es encore tres triste..

 
 
posté le 03-04-2010 à 18:17:14

Kate and Claudia suite.... page 12

 

 

 

A présent, Londres ressemble à un serpent qui mue lorsque les premières lueurs solaires s'estompent; un serpent qui s'immisce malicieusement dans les veines rectilignes, perçant alors sa noirceur, d'étincelles versicolores, égrainant son passage de notes sonores et infuse son doux parfum de plaisirs à ses ombres humaines qui eux-même disparaitrons à la re-naissance du jour. Dégagez vous de votre peau diurne, déposez la derrière vous et entendez ma voix, n'ayez crainte, je vous emporte au travers de ses dédales londoniennes sur la convoitise des amalgames hédonistes de nos papillons nocturnes. Convolé avec moi jusqu'à Camden street, où se hisse fièrement, le sacro-saint très privé estampillé « De Nature Ambigue », règne absolu d'eux et soutenu de la bienveillance Queen Blue.

Calé entre un hôtel aux humbles prétentions et les vitrines mornes d'un commerce vestimentaire, se dresse une facade de briques rose maquillée de discrétion, couronnée d'un toit transpercé de trois lucanes, jumeaux des fenêtres embrumées de dessous, douteusement rougies par les faisceaux des neons placardés de chaque coté. Enfin, à sa base, l'entrée qui dissimule l'ensemble, délimitée par une porte noir, elle-même traversée de vitraux dont l'imposante enseigne rouge clignotante au dessus signe un « De Nature Ambigue » faisant foi d'invitation.

 


Avant d'être une saupoudreuse scène des amalgames confinées sur deux niveaux, cette demeure se définissait comme un simulacre de pension pour des suspensions humaines en quête de parenthèses. Parfois pour les déshabituer de leur indifference, on élaboré des semi-scenette musicales certainement plus poétiques qu'ambitieuses. Cale fut l'un de ces mises en demeure qui eu la grace de l'affection et se jouer de lui-même en devenant pas à pas la futur Queen Blue, miroir d'une Drag Queen. Face aux portes closes et lassé de sa propes existence, les clefs entre les mains, il n'eut qu'à satisfaire sa création. Une perpétuelle exigence, Queen Blue, y introduit deux concepts : au rez de chaussée, l'amalgame musical: en déculpabilisant la petitesse de la scène, il offrit ainsi une diversité musicale, ajustant les plaisirs gustatives jusqu'aux confort de l'assise, il réussit un tour de maitre irréprochable. Le second concept : au premier étage, l'amalgame symboliquement sensuelle : La poésie est de mise pour vous endiabler aux plaisirs libertaires. Parmi les tentures vives ou sobres, les protagonistes dévoilent ainsi à leur guise toute la jouissance que l'on peut exprimer corporellement. Enfin, sous les combles, Cale s'octroya un espace assez spacieux pour établir sa résidence perpétuelle et fit un loft pour ses amis intimes comme l'est claudia, Roses, Mum.


Dans l'étreinte hypnotique engendré d'une décoction de l'intense ivresse sonore et les percussions lumineuses, tel des entités automates, des vagues ondulantes, se déclinant en sens inverse, se transgressant par leurs gestuelles, injectées de prestance, définissaient des dances fantasmagoriques. Cependant aux abords de cet imbroglio, dépouillés de leur énergie organique, des clair obscures souriants s'agglutinaient afin d'insuffler la moquerie sur l'extravagance mésaventure d'un banquier qui fut surprit en élégante compagnie masculine. Dans cette outrageante indiscrétion, d'une humanité naturelle, Roses apprivoisait les promulgations incessantes émies par les impacts épineusement amoureuses.


  • « On ne peut lui reprocher de s'ennuyer avec sa femme et ses enfants! Mais pour si peu, on aurait dut lui donner l'adresse de chez vous, son plaisir lui aurait rapporté autant que ses investissements boursières » s'esclaffait Roses.

De cette maniabilité de refaçonner ses petits reliefs impudiques sous licence bouffonne, avait en la manière assez de sens pour Roses, dont il s'y improvisait avec élégance, de s'efforcer à oublier les traces de ces immondices dont les effluves pertinentes, se qualifiait d'injurieux. Milles excuses se dressent, tel une armée face à ses accusateurs, afin de justifier ses nocturnes obligeances, néanmoins Roses comme autant de rescapés, se savait marqué par une fleur de lys sur l'épaule, cadenassant les ambitions au seins des très irréprochables d'où qu'ils régissaient. L'élégance se fait ainsi pardonner de n'être point mise en valeur, lorsqu'on signe un armistice devant ce marasme de défunts encensaient à leur guise, quémandant dans l'insatisfaction. L'aisance de l'hypocrisie se n'arguait aux attraits humaines d'obligeance, mais qui en ces lieux s'y offusqueraient ! Le seule crime milles fois brulait dans leurs inquisitions n'est-elle pas les normes de l'apparence !


  • « Que diable vous osez encore vous assoiffer à ce breuvage, Roses n'as tu pas honte? »

  • « oriana ! »


A ses yeux, Oriana symbolisait incandescence feminine. Son oracle agenouillait les audacieuses âmes comme une brise qui éteint les étincelants égos devant son passage. Depuis l'automne de son intelligible âge, elle ambitionnait la vie comme un jeux d'échec, donc le trône de Reine qu'elle convoitise n'est connu que de son inconscient. Nombreux les molécules translucides qui cru ressentir sa vibration reliquaire cependant nul eut le doigté assez sur pour paraître dans ses yeux. Par milliers, se conte ses origines cependant nul ne sut ce qu'elle fit de ses racines, nul ne fit confidence ; Ce qui fit sous-imaginer quelques indicibles : Son mythe est ainsi doublement vivant. De sa prudence qu'elle usait, l'offre qu'elle fit à Roses, fit de lui, un être soyeusement respecté.


- « le crime Roses c'est croire que nous aurions de l'intérêt pour autruit. Ne convoite pas l'Amour, ni l'amitié, elle te briserons autant cruellement qu'elle sont ce « You » affligeant

  • « Oriana, qu'as tu appris qui puisse t'octroyer une telle insigne

  • « Rien ou simplement des conjonctures disgracieuses »



Mise à l'écart de lui, nos moqueuses dussent, se réinjecter dans cette trainée ondulatoire.

Cependant sous les prémisses des nocturnales matinales, les vagues ondulatoires furent émulsionnés d'une telle intensité qu'elles furent déstabilisées, entrainant une perte de stimulis qui fit apparaître des particules inertes: Inertes de stupéfaction ! En traçant un vecteur d'honneur, leurs clameurs défièrent les echos soniques, lorsque l'ombre s'introduisait, s'offrant au assise d'eux.

 

Qui pouvait à ce point désarçonner ces particules ?

Qui pouvait à ce point les dé-osciller ainsi ? 

 

 

(sorry si le chapitre semble peu finie)

 


Avec vos soins

 

aurore  le 23-04-2010 à 11:15:17  #   (site)

c'est du Thek....
une écriture plus qu'originale

 
 
 

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